A Bamako, il est attendu une délégation de haut niveau de l’Organisation des Nations unies (ONU) le 2 février prochain pour évaluer le bilan de la Minusma. Si l’arrivée de cette mission d’évaluation se confirme, cela risque d’être la descente aux fers pour le représentant spécial de la Mission internationale pour le soutien au Mali, Bert Koenders. Du fait de sa gestion calamiteuse.
La Minusma soutient les autorités de transition : formation, assistance technique et entraînement des forces de police dans la banlieue de Bamako. Photo: MINUSMA
La Minusma soutient les autorités de transition : formation, assistance technique et entraînement des forces de police dans la banlieue de Bamako.
Contrairement aux informations diffamatoires et malsaines du représentant spécial du secrétaire général des Nations unies Bert Koenders, la délégation de haut niveau attendue à Bamako, le 2 février viendra évaluer le bilan des opérations de la Mission internationale
pour le Mali sur le terrain, particulièrement la gestion de Bert Koenders.
De sources dignes de foi, nous indiquent que la gestion de ce dernier est décriée par l’Assemblée générale des Nations unies, pour avoir déployé le gros de ses moyens à Bamako à la location des lieux de haut standing (hôtel de l’Amitié, Nord-sud, Radisson Blue et Alfarouk).
Or, l’ONU envisageait son QG dans les zones qui étaient sous occupation par les bandits armés. Faisant fî des vraies préoccupations des Maliens, le représentant spécial est venu occuper tout Bamako, comme si la ville était envahie par les islamistes radicaux.
Sachant que tous les pronostics se jouent à sa défaveur, il s’engage dans une campagne de communication avec la complicité des médias.
Mais ses efforts semblent ne pas faire mouche au niveau de l’organe suprême des Nations unies, puisque des sources font croire que cette délégation ne compte imposer un représentant qui n’a qu’une valeur d’ambassadeur surtout que ce dernier est soupçonné de n’avoir pas accompli la mission à souhaite.