La tête pensante et figure emblématique de l’irrédentisme touarègue, Iyad Ag Ghali, serait toujours calfeutrés dans les collines mythiques du Teghar-ghart, non loin de la frontière algérienne.
S’il continue de jouir d’une certaine immunité let épargné par les bombardements français c’est visiblement parce que ses compagnons de jihadiste lui ont légué un riche patrimoine : des citoyens européens, majoritairement français, pris en otage et monnayé au compte-goutte aux autorités de leurs respectifs.
Selon nos confidences, un intermédiaire en libération des otages a récemment séjourné dans la zone la besace plein d’Euro pour recevoir deux français. Les observateurs avertis s’attendaient tous à l’annonce de cette libération qui a finalement capoté, selon toute vraisemblance. Quoi qu’il c’est le genre de business qui insuffle du nouveau sang au jihadisme et alimentent sa résurgence.