Dans notre parution du lundi dernier, nous avons publié de l'ANASER, sous la forme d'une " Précision " tendant à démentir information publiée dans L'Indépendant n*3428 du jeudi 30 Janvier 2014 sous le titre : "Le port du cas que sera obligatoire dans deux semaines L'ANASER avait alors tenu à dire que " ce ne sont pas les autorités en charge des transports et de la sécurité " qui ont livré cette information au cours d'une rencontre tenue au Département de l'Equipement et des Transports, le mercredi 29 janvier 2014.
Après ce pseudo-démenti, nous confirmons que la réunion de ce jour a bien porté sur le " port du casque obligatoire dans deux semaines V De même que celle qui l'avait précédée et avait eu lieu, le vendredi 24 janvier 2014, au ministère de la Sécurité et à laquelle étaient présentes une trentaine de structures dont naturellement des représentants du Département de l'Equipement et des Transports et l'ANASER Cette rencontre était présidée par le ministère de la Sécurité entouré de membres de son cabinet.
A l'issue de cette rencontre, les points suivants ont été évoqués : la fluidité de la circulation dans le District de Bamako par la libération de la voie publique au niveau du Centre commercial, de certains marchés et voies de circulation du District ; la lutte contre les accidents de circulation et la sécurité des usagers de la route par, entre autres, le contrôle technique des véhicules ; l'interdiction de la circulation des charrettes à traction animale et la divagation des animaux sur là voie publique ; l'exigence du permis de conduire pour les motocyclistes et l'obligation du port du casque ; la réglementation de la circulation des tricycles dans le District de Bamako. S'y ajoute la relecture du Code de la Route et des textes sur l'importation des véhicules en interdisant l'introduction au Mali des véhicules automobiles avec volant à droite et en limitant l'âge des véhicules d'occasion.
La réunion a décidé, selon le compte rendu qui en est issu, " de prendre des mesures urgentes dans un délai maximum de quinze jours pour procéder à la libération de la voie publique parle dégagement des commerçants détaillants et de tous les occupants illégaux de la vole publique... ; rendre obligatoire le port du casque et le permis de conduire pour les motocyclistes ; de procéder au suivi des veto/eu/es par le contrôle technique».
En conclusion, le rapport souligne que l'Etat, au terme " du délai de quinze jours de sensibilisation et d'Information, ne faillira pas à mettre en cauvre toutes les mesures nécessaires pour rendre la circulation fluide a Bamako ". L'ANASER et sa tutelle, à savoir le ministère de l'Equipement et des Transports, ont bien participé à cette réunion. Pourquoi alors perdre du temps, de l'encre et de l'énergie pour écrire un droit de réponse quand vous avez tout faux ?