La phrase est sur toutes les lèvres: les pincées du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius; les gercées des otages; les frémissantes de la coalition anti-putsch qui réclame la démission de Cheick Modibo Diarra; les purpurines du président de la Commission de la Cédéao, qui fixa un ultimatum qui prend fin le 31 juillet; les tuméfiées de Dioncounda Traoré, le président de transition qui serait attendu cette semaine à Bamako, la capitale malienne.... suite de l'article sur Slate Afrique