Les députés maliens vont dans les prochains jours être appelés à se prononcer sur la création d'une Commission vérité justice et réconciliation qui devra faire la lumière sur les atrocités commises lors des conflits armés passés depuis les années 60.
Les autorités maliennes doivent éviter le syndrome de la coquille vide : une commission de réconciliation qui ne servirait à rien. Dès son élection le président Ibrahim Boubacar Keïta a promis une commission ambitieuse qui s'intéressera aux atrocités commises ces cinquante dernières années. Elle sera composée de 15 membres et de 7 groupes de travail et aura un mandat de trois ans.... suite de l'article sur RFI