Modibo Sidibé chez Soumaila Cissé : « Nous sommes de l’opposition, ceux qui ne veulent pas nous suivre sont partis ailleurs

Politique

Modibo Sidibé chez Soumaila Cissé : « Nous sommes de l’opposition, ceux qui ne veulent pas nous suivre sont partis ailleurs »

Publié le vendredi 18 avril 2014 | Le challenger

© aBamako.com par mouhamar
Politique: Une délégation du Parti FARE rencontre l`URD
Bamako, le 16 avril 2014 au siège de l`URD.Le secrétariat exécutif national du parti FARE avec à sa tête son président Modibo Sidibé a été reçu ce mercredi par le bureau politique de l`URD avec en sa tête Soumaïla Cissé, à son siège à Badalabougou.

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Politique : Un nouveau mouvement pour le soutien au Président Ibrahim Boubacar Keita

- 8/4/2014

Dans le dossier

Activités des partis politiques 2014

C’est ce qu’a déclaré Modibo Sidibé au siège de l’union pour la république et la démocratie (URD) hier après midi. Le président du parti FARE, Modibo Sidibé, non moins ancien premier ministre et candidat malheureux aux élections présidentielles passées a rendu visite au chef de file de l’opposition Soumaila Cissé au siège de l’URD à Badalabougou.

Après une entrevue d’une trentaine de minute, ces deux figures emblématiques de l’opposion ont accordé une interview à la presse sur leur vision commune pour une opposition solide et constructive. Modibo Sidibé a expliqué face à la presse le sens de sa visite qui a pour objet de partager une démarche politique pour une opposition constructive. Selon lui, l’opposition ne doit pas être diabolisée mais au contraire elle doit être respectée pour la permettre de jouer pleinement son rôle. Il a aussdi saisi l’occasion pour s’exprimer sur le départ de certains de ces députés qui ont démissionné du parti FARE. « Nous sommes de l’opposition, ceux qui ne veulent pas nous suivre ont choisi de partir ailleurs », a-t-il dit

Quant à Soumaila Cissé, il a indiqué que l’opposition doit avoir sa valeur d’antan afin de jouer son rôle. D’après lui, les critiques et les propositions de l’opposition sont ignorées par ceux qui sont au pouvoir. « Même dans les medias étatiques, nous sommes censurés » s’indigne t-il
Nous y reviendrons
M. Fofana

Commentaires