Le paludisme tue toujours plus de 500 000 personnes par an, a révélé le secrétaire général de l’Onu Ban Ki Moon dans un message à l’occasion de la Journée mondiale du paludisme, ce jeudi.
Les jeunes enfants, âgés de moins de 5 ans, qui vivent en Afrique subsaharienne, continuent d'être les premiers touchés, selon Ban, ajoutant : « Trop de cas ne sont toujours pas contrôlés, enregistrés ni traités ».
Il a ainsi lancé un nouveau appel aux investisseurs pour qu'ils poursuivent leurs efforts et aux États pour qu'ils fassent preuve d'un engagement et d'une volonté politiques soutenus afin d'améliorer les efforts de prévention et la lutte contre le paludisme.
« Nous avons besoin de fonds supplémentaires pour préserver les progrès accomplis et continuer d'intensifier la lutte contre le paludisme », a clame Ban Ki Moon. La célébration de la Journée mondiale du paludisme, offre selon lui l'occasion de renouveler l'engagement collectif de combattre le paludisme et d'enrayer à jamais cette maladie mortelle.