On croyait que le pays du football se ferait une joie d’accueillir la Coupe du monde en juin. Las, depuis des mois, le coeur n’est plus à la fête. L’économie patine, la corruption galope, et les dépenses somptuaires engagées pour organiser cet événement ne font qu’ajouter à l’exaspération de la rue.
Il aura fallu des semaines aux bâtisseurs du stade Itaquerao, à São Paulo, pour rattraper l’accident de chantier survenu en novembre 2013 : une poutre géante s’était alors effondrée à travers un mur de l’enceinte de 68 000 places, tuant deux ouvriers et jetant un froid sur la préparation de la Coupe du monde de football.... suite de l'article sur Jeune Afrique