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Mali : quand l’Assemblée nationale fait peau neuve
Publié le mardi 13 mai 2014  |  Jeune Afrique


© aBamako.com par mouhamar
Première session de la nouvelle législature
Bamako, le 22 janvier 2014 à l`hémicycle. Les nouveaux députés issus des dernières législatives étaient en session extraordinaire pour l`élection du président de l`assemblée nationale et la composition des groupes parlementaires.Photo: Honorable Soumaila CISSE.


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Plus question de jouer les potiches : les députés, dont la plupart siègent pour la première fois, comptent faire entendre leur voix. Portrait de quelques figures de proue.

Trois mois après la présidentielle des 28 juillet et 11 août 2013, les Maliens étaient de nouveau appelés aux urnes, les 24 novembre et 15 décembre suivants, pour les élections législatives. Si le scrutin s'est déroulé dans le calme, il n'a pas suscité la même ferveur populaire que celui qui avait porté Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) à la magistrature suprême. L'abstention a même dépassé les 60 %. L'enjeu était pourtant de taille.

Le renouvellement de l'unique chambre du Parlement a, en effet, consacré le retour à l'ordre institutionnel, deux ans après le coup d'État de mars 2012. La convocation des députés pour la première séance de la nouvelle législature, le 22 janvier 2014, a officiellement mis fin à la période de transition.

Dix-neuf partis ont remporté des sièges. Parmi eux, le Rassemblement pour le Mali (RPM), la formation du président Ibrahim Boubacar Keïta, arrive en tête avec 66 élus. Fort du soutien d'autres mouvements politiques, dont l'Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (Adema-PASJ, 16 sièges), IBK dispose d'une confortable majorité de 126 députés sur 147. Face à lui, 21 élus se sont déclarés membres de l'opposition. La plupart appartiennent à l'Union pour la République et la démocratie (URD, 17 sièges), le parti de Soumaïla Cissé, arrivé deuxième de la présidentielle.

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