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Algérie - Mali : L’Algérie et le Mali unis par des liens qu’aucune conjoncture ne pourrait remettre en cause
Publié le dimanche 18 mai 2014  |  elmoudjahid.com


© aBamako.com par mouhamar
Deuxième réunion ministérielle de la plateforme de coordination des Stratégies pour le Sahel
Bamako, le 16 mai 2014 au CICB. La capitale malienne a abrité la deuxième réunion ministérielle de la plateforme de coordination des Stratégies pour le Sahel. L`ouverture des travaux a été présidée par M. Abdoulaye DIOP, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération Internationale.


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Les travaux de la 3e session du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le nord-Mali ont débuté hier à Bamako, sous la présidence du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et du ministre malien des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop.

M. Lamamra a indiqué à l’ouverture des travaux que cette rencontre s’articulera autour d’une feuille de route, prenant en charge toutes les évolutions intervenues depuis janvier dernier au Mali et qui projette l’action commune des deux pays pour un avenir "ambitieux et tout à fait clair". De son côté, le chef de la diplomatie malienne a salué l’engagement renouvelé de l’Algérie en faveur du Mali pour qu’il puisse progresser et retrouver son rôle et sa place.

Le ministre des Affaires est arrivé vendredi soir à Bamako après s’être rendu respectivement à Nouakchott et à Ouagadougou, dans le sillage d’une tournée dans les pays du Sahel entrant dans le cadre de la tenue des consultations et des contacts avec ces pays voisins de l’Algérie. Les travaux de la 2e session du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le nord-Mali qui se sont tenus en avril dernier à Alger avaient été sanctionnés par un communiqué commun dans lequel notamment le Mali avait demandé à l’Algérie de poursuivre ses efforts de bons offices en vue de la réunion des conditions permettant, le lancement dans les meilleures conditions d’un dialogue inter-malien inclusif, comme souhaité par les Maliens eux-mêmes et par la communauté internationale.

L’Algérie et le Mali unis par des liens qu’aucune conjoncture ne pourrait remettre en cause
Le président malien, Ibrahim Boubakar Keita, a indiqué, hier à Bamako, que les liens unissant l’Algérie et le Mali étaient tellement "profonds", qu’"aucune conjoncture ne pourrait remettre en cause", soulignant que l’Algérie avait le "souci permanent de refonder le tissu d’un Mali déchiré". "Ce qui a été scellé entre le Mali et l’Algérie a été tellement profond qu’aucune conjoncture ne pourrait remettre en cause.

Il y a entre les deux pays, des liens de fraternité et de confiance, trempés dans le sang", a déclaré à la presse algérienne, M. Keita, au terme de l’audience qu’il a accordée au ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.Il a ajouté que l’Algérie s’était toujours montrée "soucieuse" de la situation du Mali, soulignant le rôle qu’elle joue pour refonder "le tissu d’un Mali lardé et déchiré".

M. Lamamra est arrivé vendredi soir à Bamako après s’être rendu respectivement à Nouakchott et à Ouagadougou, dans le sillage d’une tournée dans les pays du Sahel entrant dans le cadre de la tenue des consultations et des contacts permanents avec ces pays voisins de l’Algérie. Il devait prendre part, hier, aux travaux de la 3e session du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali, et aux travaux de la réunion interministérielle des pays du Sahel, aujourd’hui.

Par ailleurs, l’étape de Niamey (Niger), qui était au programme initialement de M. Lamamra, a été reportée, d’un commun accord, à une date ultérieure, en raison de la participation du président nigérien Mohamed Issoufou et son ministre des Affaires étrangères Mohamed Bazoum à un sommet en France, suite au rapt de jeunes filles au Nigeria.

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