Le gouvernement malien s'est déclaré dimanche "en guerre" contre les "terroristes", au lendemain de combats meurtriers entre l'armée et les rebelles touaregs à Kidal (Nord). Six officiels maliens ont été assassinés et environ 30 fonctionnaires seraient toujours retenus en otages.
La visite de Moussa Mara samedi 17 mai à Kidal était redoutée. Elle a rapidement tourné au bain de sang. Alors que le Premier ministre malien entrait dans ce bastion de la rébellion touarègue, situé à plus de 1 500 km au nord-est de Bamako, des soldats maliens et des combattants de groupes armés se sont affrontés.... suite de l'article sur Jeune Afrique