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Mali: démission du ministre de la Défense (officiel)
Publié le mercredi 28 mai 2014  |  AFP


© aBamako.com par A.S
Armée: Décorations à la Défense
Bamako, le 06 mars 2014. Ministère. Le ministère de la Défense et des Anciens combattants a abrité hier une grande cérémonie de décorations présidée par le ministre Soumeylou Boubèye Maïga


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Bamako - Le ministre malien de la Défense, Soumeylou Boubèye Maïga, a démissionné mardi soir une semaine après la défaite de l’armée malienne à Kidal (nord-est) face à des groupes armés rebelles, a annoncé la présidence du Mali.

"Le ministre malien de la Défense a présenté sa démission qui a été acceptée", a indiqué à l’AFP un porte-parole de la présidence, précisant que le nom de son successeur serait "très bientôt connu".

La démission de M. Boubèye Maïga survient après la lourde défaite le 21 mai de l’armée malienne face à des groupes armés rebelles, dont le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg), à Kidal, dans le nord-est du Mali.

Cette offensive ratée sur Kidal avait suivi de premiers affrontements entre des soldats maliens et ces mêmes groupes armés à l’occasion de la visite dans cette ville du Premier ministre malien Moussa Mara le 17 mai.

Dimanche soir, Soumeylou Boubèye Maïga avait indiqué que les forces maliennes avaient enregistré dans leurs rangs "une cinquantaine de morts" et "48 blessés" lors de ces combats.

Il avait précédemment reconnu que des soldats avaient été faits prisonniers par les combattants rebelles, mais moins que ce que revendiquent ces groupes.

Le MNLA avait indiqué la semaine dernière que 40 soldats maliens avaient été tués, 50 faits blessés et 70 prisonniers depuis le début des hostilités le 17 mai.

Le gouvernement malien et les groupes armés du Nord ont signé le 23 mai un accord de cessez-le-feu à la faveur d’une médiation conduite par le chef de l’Etat mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, présient en exercice de l’Union africaine (UA).

En plus de la cessation des hostilités qui est effective depuis l’accord, ce dernier prévoit "la libération des prisonniers dans les meilleurs délais" et "la mise en place d’une commission internationale d’enquête".

sd-stb/lv


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