La Fondation Orange-Mali, conformément à sa tradition de soutien aux couches défavorisées, a fait don de plusieurs dizaines de tonnes de vivres aux centres d’accueil pour enfants démunis de Bamako. La remise de ces dons s’est déroulée, jeudi dernier, au niveau de chaque structure d’accueil pour enfants, en présence des responsables de la Fondation Orange-Mali.
Cette aide de la Fondation Orange-Mali, indiquent ses responsables, entre dans le cadre de son volet ‘‘don de première’’ nécessité aux populations en situation de fragilité sociale.
D’une valeur de plus de 11 millions de F CFA, ces dons sont constitués de riz, de sucre, de petit mil, de lait pour nourrissons et enfants et d’huile. Ces vivres permettront, indique la présidente de la fondation, d’assister et de couvrir les besoins alimentaires d’au moins 1 600 enfants.
Parmi les structures bénéficiaires on peut citer: Kanuya, Lueur d’Espoir, Jigiya-Bon, Falatow-Djiguiya-So, Amaldeme, Ayat Tamadilt et la Pouponnière II.
Très satisfaits, les responsables des centres d’accueil pour enfants défavorisés ont salué ce geste de la Fondation Orange-Mali qui vient, selon eux, à point nommé. Car l’ensemble de ces centres, disent-ils, sont confrontés à des difficultés alimentaires, liées à la conjoncture actuelle. Ces dons apporteront, rassurent-ils, beaucoup de réconfort aux enfants, qui sont dans le besoin.
Rappelons que la fondation Orange-Mali est née de la volonté des actionnaires et du personnel d’Orange–Mali de participer, de manière structurée et pérenne à l’œuvre consistant, à se préoccuper de son environnement immédiat. Depuis 2006, la fondation Orange-Mali soutient plusieurs centres d’accueil pour enfants démunis. Aussi, elle œuvre auprès des autorités, des acteurs sociaux publics et privés, ainsi que des Ong, pour alléger les souffrances des populations à travers ses trois axes d’interventions : la santé, l’éducation et la culture.
Notons qu’Orange-Mali, à travers sa fondation, entend poursuivre son élan de solidarité envers les couches défavorisées. Même si ses rapports avec le Régulateur (Autorité malienne de Régulation des Télécommunications) ne sont pas au beau fixe, ces derniers temps.