La Banque mondiale se félicite de la convergence de vues sur la nécessité d’investir en Afrique #aBamako

Économie

La Banque mondiale se félicite de la convergence de vues sur la nécessité d’investir en Afrique

Publié le dimanche 15 juin 2014 | APA

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Economie : Visite du vice-président de la Banque Mondiale, Makhtar Diop
Lundi 18 mars 2013. Mali. Le vice- president de la Banque Mondiale, Makhtar Diop rencontre les ministres des finances et les ambassadeurs. Photo : Makhtar Diop.

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Le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique M. Makhtar Diop, s’est félicité samedi à Dakar, de la convergence de vues entre les Etats, les partenaires au développement et les pays émergents sur la nécessité d’investir en Afrique.

Dans un entretien avec APA en marge d’une réunion préparatoire à un sommet du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) sur le financement des infrastructures prévu demain dimanche dans la capitale sénégalaise, Diop a indiqué qu’une conférence de cette nature permettra de ’’mobiliser encore plus de ressources du secteur privé et de créer un lien beaucoup plus fort entre les investissements et les efforts de mobilisation des secteurs public et privé’’.

Il dit avoir espoir qu’à la suite de cette réunion, les projets prioritaires qui ont été définis par le NEPAD seront financés en grande partie.

De l’avis toujours du vice président de la Banque mondiale, l’essentiel du portefeuille de cette institution financière internationale en Afrique se situe dans les infrastructures.

« Nous avons fait cette année un total de 10,5 milliards de dollars en Afrique dont à peu près 60% vont dans le secteur des infrastructures », a-t-il précisé.

Dans ce domaine, la Banque mondiale met l’effort dans le secteur de l’énergie qui constitue un obstacle important au développement. En Afrique de l’Ouest, la Mauritanie, le Sénégal et le Mali ont récemment signé un accord qui permettra de transformer du gaz produit en Mauritanie en électricité.

Selon M. Diop, ce sont ces genres d’initiatives que soutient la Banque mondiale. Il en sera de même en Afrique de l’Est et au Congo avec le projet Inga.

« L’ensemble de ces projets aideront à transformer les économies africaines », a -t-il dit
MS/od/APA

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