Lutte contre la corruption : La société civile encouragée à s’impliquer #aBamako

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Lutte contre la corruption : La société civile encouragée à s’impliquer

Publié le jeudi 26 juin 2014 | L’Essor

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Concertation entre le vérificateur général et le procureur de la République
Jeudi 20 décembre 2012 à lhôtel Al Farouk (Bamako)> Hamadou Ousmane Touré, Verificateur general>

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Justice et droits de l’homme

Une rencontre baptisée « Espace contact » sur le rapport 2013 du Vérificateur général a eu lieu mardi au centre Djoliba. Organisée par le Réseau plaidoyer et lobbying en collaboration avec l’Ong « Diakonia », la rencontre a regroupé une soixantaine de participants désireux de contribuer au renforcement des capacités de la société civile dans la surveillance et la dénonciation de la corruption au Mali.

La réunion a donc entrepris d’informer et de sensibiliser les acteurs de la société civile sur les principaux enseignements à tirer du rapport 2013 du Vérificateur général et d’inciter les organisations de la société civile à s’engager dans la surveillance et la dénonciation de la corruption dans les différents secteurs de développement comme dans l’administration publique.

Cette rencontre est l’occasion de lancer les bases d’une collaboration plus forte entre la société civile et le bureau du Vérificateur dans la lutte contre la corruption au Mali, a expliqué, Mamadou Fofana, le président du conseil d’administration du Réseau plaidoyer et lobbying.

Au cours cet « Espace contact », les représentants du bureau du Vérificateur général, Lamine Kéïta et Famory Kéïta, ont présenté une communication sur les principaux éléments qui constituent les points d’attention pour la société civile dans le rapport de vérification publié par le BVG en 2013 ainsi que les recommandations.

Oumar Dembélé, représentant l’Ong « Diakonia », a souligné l’intérêt que son organisation porte à cette rencontre susceptible de renforcer la capacité de la société civile dans la lutte contre la corruption.

En 2013, le Mali a été classé parmi les pays de mauvaise gouvernance. Cette situation a été favorisée par la crise, l’organisation des élections et le renouvellement des institutions qui sont des moments critiques dans la vie d’un pays, a expliqué Oumar Dembélé.

Be COULIBALY

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