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Ibrahim Boubacar Keïta, président de la République malienne
Publié le vendredi 27 juin 2014  |  RFI


© aBamako.com par Dia
Réconciliation Nationale: Cérémonie d`Ouverture des Assises Nationales sur le Nord
Bamako, du 1er au 02 Novembre 2013. Dans le cadre de Faire connaître et de partager les préoccupations et les attentes du peuple malien sur la voie de la recherche d`une paix durable, juste et inclusive à travers le pays; SEM. Ibrahima Boubacar Keita, Président de la République du Mali a initié les « Assises Nationales sur le Nord ». Il a présidé leur ouverture ce matin au CICB, sous l`égide du Ministère de la Réconciliation Nationale et du Développement des Régions du Nord, M. Cheick Oumar DIARRAH . Photo: SEM. Ibrahim Boubacar Keita, Président de la République du Mali


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Un mois après les affrontements meurtriers de Kidal, dans le nord du Mali, le gouvernement malien annonce qu’il est prêt à engager des négociations avec les groupes armés du Nord dans la première quinzaine de juillet à Alger. Quelle est la responsabilité du président Ibrahim Boubacar Keïta dans les combats du 21 mai dernier ? Qu’attend-il des futures négociations ? IBK est actuellement à Malabo où il assiste au 23e sommet de l’Union africaine. Il répond aux questions de notre envoyé spécial, Christophe Boisbouvier.

RFI : Qu’est-ce que vous attendez de cette reprise du dialogue avec les groupes armés du nord le mois prochain à Alger ?

Ibrahim Boubacar Keïta : Le meilleur. J’espère que cette fois-ci, nous sommes engagés dans une très bonne voie qui va nous permettre de déboucher sur un accord, cette fois-ci, de confiance, un accord global et définitif pour que nous n’ayons plus à déplorer ces morts d’un côté comme de l’autre. Pour moi, ce sont toujours des Maliens qui tombent. Et je crois qu’avec nos frères, le temps de l’entente est venu.

A l’origine, vous souhaitiez que ces pourparlers aient lieu sur le territoire malien. Vous avez fait un geste. Pourquoi ?

Il faut savoir faire des concessions. Et au terme de discussions finales, nous souhaitons que ce soit au Mali. Pas pour des raisons de durcissement ou de coquetterie mais nous pensons que ce sera là un test de confiance revenue entre nous.
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