Société
1er concours national des bonnets bleus de la presse : Sidi Dembélé de l’hebdomadaire « Le Patriote » emporte le 1er prix
Publié le mercredi 29 aout 2012 | L'Indicateur Renouveau
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La radio « Salam FM » initiateur du concours des bonnets bleus a organisé le lundi dernier à la Maison de la presse la cérémonie de remise de prix aux lauréats. Présidée par le directeur de la radio, Boulkassoum Maïga. Notre confrère de l’hebdomadaire « Le Patriote », Sidi Dembélé s’est vu attribuer le 1er prix d’une valeur de 150 000 F CFA, un kit de reportage et un bonnet bleu, signe du savoir.
La cérémonie de remise de prix aux lauréats du 1er concours national des bonnets bleus le lundi passé a noté la présence de plusieurs invités et donateurs dont la Fare, la Coopération Suisse, Cri de cœur et les mairies de la Commune III et IV. Le concours a reçu 15 articles de presse et 6 magazines de radio sur notre système éducatif, parmi lesquels seulement trois personnes ont été primés. Révélés par le président du jury, Abdoulaye Baba. C’est ainsi que le 1er prix a été décroché par notre confrère, Sidi Dembélé de l’hebdomadaire « Le Patriote », dirigé par Mamary Fofana, le 2ème prix est revenu à Aliou Sidibé de la radio « Kledu » et le 3ème prix a été attribué à Issiaka Coulibaly, de l’organe : « Aujourd’hui la résistance ». Les prix étaient composés ainsi, 1er prix : 150 000 F CFA + Kit +Bonnet bleu ; le 2ème prix : 100 000 F CFA + Kit +Bonnet bleu et le 3ème prix : 50 000 F CFA + Kit +Bonnet bleu.
Les donateurs tout comme les lauréats ont tous salué l’initiative de Salam FM et l’exhortent à continuer dans ce sens pour le meilleur de notre système éducatif, marqué par de nombreuses difficultés. Un appel a été lancé également aux lauréats à continuer leurs investigations pour sortir notre système éducatif de l’ornière.
Le directeur de la radio « Salam FM », Boulkassoum Maïga a salué l’ensemble des donateurs et aussi les participants à ce concours, qui selon lui est créé pour inciter les hommes de médias à s’intéresser à ce domaine, à savoir notre système éducatif qui est aujourd’hui malade. Et M. Maïga compte sur cette initiative pour l’améliorer.
Ousmane Daou
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