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Pourparlers exploratoires à Alger : l’Opposition demande à IBK de consulter la classe politique !
Publié le lundi 7 juillet 2014  |  Le Pays


© aBamako.com par mouhamar
Politique: Une délégation du Parti FARE rencontre l`URD
Bamako, le 16 avril 2014 au siège de l`URD.Le secrétariat exécutif national du parti FARE avec à sa tête son président Modibo Sidibé a été reçu ce mercredi par le bureau politique de l`URD avec en sa tête Soumaïla Cissé, à son siège à Badalabougou.


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L’opposition malienne, constituée de l’Union pour la République et la Démocratie(URD), du parti pour la Renaissance Nationale (Parena) et des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE-Anka Wuli), exige au président de la République, IBK, de consulter d’abord la classe politique avant d’entamer les pourparlers exploratoires avec les groupes armés à Alger.

Le début des pourparlers entre gouvernement et groupes armés du nord du Mali annoncé se fait toujours attendre. La vigilance Républicaine et démocratique(VRD) se dit vivement préoccupée par la gestion de cette crise du nord par le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, et le gouvernement. A cet effet, elle demande au président IBK de consulter la classe politique locale, les forces vives, avec pour objectif de dégager une plateforme et une vision nationale avant d’engager des discussions avec les groupes armés du nord du Mali. Faut-il le rappeler, c’est la fin de ce mois (juillet) que les pourparlers devront commencer en Algérie.

Sur le choix de l’Algérie, et sur le choix d’autres pays qui jouent aux facilitateurs pour le règlement de la crise, les opposants du régime d’IBK ont un message à savoir « d’éviter toute précipitation susceptible de compromettre l’avenir ». En clair, c’est une crise malienne, et ce sont avant tout les maliens qui doivent se concerter afin de dégager des pistes de sortie de crise.

Dans tous les cas, les membres de l’opposition sont avant tout des maliens, de ce fait, ils doivent être consultés avant de prendre des décisions qui peuvent être compromettantes pour le pays.

A.Agmour


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