Alors que la fête est finie au Brésil, le Mondial russe de 2018 se profile déjà à l’horizon.
Le chantier est colossal car, outre les stades à construire ou à rénover, le manque d’infrastructures est criant en dehors de Moscou, Saint-Pétersbourg et Sotchi.
L’addition s’annonce salée.
Le Mondial brésilien à peine terminé, les yeux du monde sont déjà tournés vers celui de 2022 au Qatar et vers tous les problèmes qu’il soulève, oubliant presque qu’entretemps, il y en aura un en Russie, très précisément du 8 juin au 8 juillet 2018.
On exagère un peu bien sûr mais s’il a fait beaucoup parler de lui au moment de son choix, le Mondial 2018 a pour le moment laissé à celui de 2022 une bonne partie de la mauvaise publicité.
Il faut pourtant avouer que ceux qui ont vu de la manigance dans la désignation de la Russie pour l’organisation de la XXIe Coupe du monde ont sans doute quelques arguments à faire valoir.... suite de l'article sur RFI