L’Ordre national des médecins du Mali a mis en place le 21 juin dernier un nouveau Conseil national de 12 membres dirigé par Dr. Lassana Fofana pour un mandat de 3 ans. Ce nouveau bureau a été présenté à la presse le vendredi 11 juillet 2014 à la Maison de la presse.
L’Ordre national des médecins du Mali a désormais un nouveau Conseil national de 12 membres dirigé par Dr. Lassana Fofana. Il a été mis en place le 21 juin dernier pour un mandat de 3 ans. Selon son président, Lassana Fofana, sur les 12 membres qui composaient la première mandature, 8 personnes ont été reconduites et 4 sont parties. Il a rappelé que le nouveau bureau élu est composé de 12 membres dont 10 titulaires et 2 suppléants.
À en croire, Lassana Fofana, l’Ordre national des médecins du Mali est composé d’un Conseil national qui est la direction centrale ; des Conseils centraux regroupant les médecins des sections qui sont les médecins généralistes du privé, les chirurgiens dentistes du privé, les médecins spécialistes du privé et autres fonctionnaires et enfin, des Conseils régionaux qui regroupent les médecins des régions, à savoir, le District de Bamako et les huit régions du Mali.
Par ailleurs, le conférencier a cité quelques activités réalisées par l’Ordre au cours de la précédente mandature. Il s’agit de l’organisation des formations continues et de la Semaine du médecin ; des activités des missions à l’intérieur du pays et des actions humanitaires. Parlant des perspectives, il a mentionné la consolidation des acquis et la pérennisation des activités entreprises.
Rappelons que l’Ordre national des médecins du Mali est une institution spécialisée créée le 24 janvier 1986 par la loi 86-35/AN-RM. Il a pour mission de regrouper tous les médecins exerçant au Mali, d’assurer leur organisation et leur représentation et d’exercer un pouvoir disciplinaire et réglementaire. En outre, l’Ordre a pour rôle de veiller aux principes de moralité, de probité et de dévouement des médecins ; à la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession ; au respect du Code de déontologie médicale ; de jouer l’interface entre les pouvoirs publics et les médecins et de donner son avis sur toutes les questions de santé.