Certains éléments de la police de Labbezanga, vers la frontière nigérienne, sont très inquiets pour leur sort dans le cadre de l’exercice de leur mission. Pour cause, ils dénoncent » la mauvaise gestion des fonds alloués pour la Prime générale d’alimentation spéciale autrement appelée PGAS « . A cela s’ajoutent, » l’amalgame, les conflits de compétence, les abus de pouvoir, l’écartement arbitraire » dans la désignation des éléments pour les postes centrales et les postes frontaliers avec le Niger.
« Suivant l’arrêté ministériel, les inspecteurs sont désignés comme chefs de poste. Est-il légal que cet arrêté soit banalisé au profit des miettes et de la méchanceté ? » dénonce un policier qui a gardé l’anonymat. Avant de d’inviter la hiérarchie à se pencher sur cette situation.
» Dans l’une de ses déclarations, le chef suprême des armées a dit : »nul n’est au dessus de la loi. Il est nécessaire pour la hiérarchie de rapprocher le personnel et d’examiner le registre de poste frontalier de Labbezanga pour se rendre compte de la véracité de ce nous avançons « , a-t-il ajouté.
Correspondance particulière