Rien ne le prédestinait à prendre la tête des putschistes le 21 mars, mais le capitaine Amadou Haya Sanogo a pris goût au pouvoir, malgré le retour à l'ordre constitutionnel au Mali. Un article publié dans J.A. n° 2677 daté du 29 avril - soit juste avant la tentative manquée de contre-coup d'État mené par des soldats du régiment de commandos-parachutistes "Bérets rouges".