Bamako a dépêché une équipe d'enquêteurs à Diabali pour tenter de faire toute la lumière sur le massacre de 16 prédicateurs désarmés, dont huit Mauritaniens, ainsi que leur chauffeur, dans la nuit de samedi 8 septembre. À Nouakchott, l'affaire passe très mal.
Lundi 10 septembre, des enquêteurs désignés par le gouvernement malien se sont rendus dans la zone du massacre qui a fait 16 morts (huit Maliens et huit Mauritaniens) dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Cette affaire a suscité la colère de la Mauritanie qui s'est empressée de dénoncer un « assassinat collectif » tout en exigeant une enquête indépendante.... suite de l'article sur Jeune Afrique