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Non à la partition du Mali : la classe politique et la société civile dans : Elan patriotique sans précèdent pour un Mali un et indivisible
Publié le lundi 29 septembre 2014  |  Infosept




Pour une sortie définitive de crise et éviter la partition du Pays en deux entités Nord et Sud les autorités politiques et toutes les forces vives de la nation dans un sursaut patriotique ont à l’unisson élevé la voix pour dire halte au complot international contre le Mali UN et INDIVISIBLE, non à l’Independence, non au fédéralisme et non à l’autonomie.

Alors que les pourparlers inter maliens entrent dans leur phase cruciale à Alger les forces vives de la nation sont à pied d’œuvre pour barrer la route aux indépendantistes sans foi ni loi. Marches et propositions fusent de toutes parts. Gao la septième région du Mali a vibré à l’unisson à deux reprises pour dire non à l’indépendance et au fédéralisme. Tombouctou, réputé être le bastion du MAA l’autre groupe dissident complice du MNLA et du HCUA, n’est pas resté en marge de ce sursaut patriotique pour chanter l’hymne National du Mali et scander la devise du Mali à savoir un peuple un but une foi au cours d’une grande marche.

Ces différentes marches de deux plus grandes régions du Nord du Mali sont le témoignage éloquent de l’attachement des populations du nord Mali à leur patrie le Mali. Pour ne donner aucune opportunité à cette insignifiante minorité qui n’est ni représentative des touaregs dont se réclame le MNLA, ni des arabes dont le MAA revendique encore moins des musulmans du HCUA, Bamako, la capitale du brassage ethnico-religieux a fait carton plein à l’appel des organisations de la société civile. Pour la première fois après les élections générales de 2013 que toutes les couches sociopolitiques, toutes obédiences politico-religieuses confondues, ont marché à l’unisson pour dire non à la partition du pays.

Ce geste de l’opposition nous rappelle les propos d’un homme politique français, qui pour signer son grand come back sur la scène politique a dit que quand la patrie est en danger l’opposition comme la majorité, au-delà de leurs divergences, doivent se donner la main pour combattre l’ennemi commun, avant de faire observer une minute de silence à la mémoire du français lâchement assassiné en Algérie par des terroristes.
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