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Mission ratée pour les médiateurs de la CEDEAO : Le Mali refuse toujours tout envoi de troupes
Publié le vendredi 14 septembre 2012  |  Mali Demain


Présentation
© aBamako.com par as
Présentation de lettre de créance du Représentant spécial de la CEDEAO au Mali
Mardi 7 aout. Bamako. Domicile du Président de la Republique Dioncounda Traore Présentation de lettre de créance du Représentant spécial de la CEDEAO au Mali , SE Cheaka Aboudou Toure au President Dioncounda Traore.


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Mercredi dernier, l’ivoirien Aly Coulibaly et Djibril Bassolé étaient venus à Bamako. L’objet de cette visite en catimini était de convaincre le Président de la république par intérim, le Premier Ministre et le Capitaine Sanogo à accepter l’envoi des troupes de la CEDEAO au Mali malgré le refus catégorique de Bamako et des maliens dans leur majorité.



A en croire les émissaires de l’organisation ouest africaine : « la CEDEAO ne venait pas en guerre contre le Mali et son armée ». En réalité, ADO et ses pairs de la CEDEAO ont compris le message du peuple malien et de ses autorités : « pas d’envoi de militaires sur notre sol ! ». D’où pour la CEDEAO qui commence à comprendre le courroux du Mali, que c’était « désormais aux autorités et aux institutions maliennes de prendre leurs responsabilités pour régler la crise au nord ». Une manière de se débarrasser du dossier malien.
Selon nos informations, la CEDEAO n’a pas les moyens de sa politique. Mieux, son Président, l’ivoirien ADO veut s’en servir pour dissuader d’éventuels putschistes dans la région puisqu’étant aussi sérieusement menacé. En guise de rappel, la CEDEAO a été crée ici à Bamako et que parler de sa force d’intervention, sans le Mali, ce serait une mission vouée à l’échec. Si nos gouvernants Alpha Oumar Konaré et Amadou Toumani Touré, n’avaient pas affaibli notre armée par leurs politiques bancales, de nos jours, ce qui s‘est passé n’allait jamais avoir lieu. Qu’à cela ne tienne, nous confie un Officier à la retraite : « il suffit que nous unissons nos forces pour chasser ces islamistes qui occupent les trois régions du nord du pays ».
Bokari Dicko

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