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Tuerie des 16 presumes djihadistes à Diabali : L’ombre d’Iyag Ag Ghaly plane
Publié le samedi 15 septembre 2012  |  L`Enquêteur


Iyag
© Autre presse par DR
Iyag Ag Ghaly


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Le Mali entrera bientôt en guerre. A défaut de pouvoir imposer une guerre ethnique au Mali, la nouvelle tendance consiste à s’essayer à une guerre ‘’sainte’’. Erreur ou pas les militaires n’ont fait que leur boulot à Diabali. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la tuerie des 16 membres de la secte islamiste « Dawa » à Diabali (frontière Mauritanienne) à un lien direct avec les « djihadistes afghans et pakistanais ». La Dawa est une filière pakistanaise introduite au Mali depuis des années.

Les éléments de cette secte sont présents dans les régions nord Mali et à Bamako. Leurs missions sont, entre autres, de formater les jeunes à l’islamisme radical et entraîner des groupes terroristes au Nord-Mali. La Djamatt Dawa a deux grandes mosquées au Mali. Une à Bamako, quartier Banankabougou prés du marché appelée Markaz et une autre à Kidal.

Parmi leurs disciples, Iyad Ag Ghali, le chef d’Ansar Eddine, le maître de la charia à Kidal et Abdelkrim, un autre dirigeant touareg. Dans cette nébuleuse pakistanaise se trouve un certain Mokhtar Belmokhtar, l’un des leaders d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) allié stratégique des bandits armés au nord Mali. La plupart de ces gens ont combattu en Afghanistan et y ont gardé de nombreux contacts. Aujourd’hui ils sont au Mali pour développer leur stratégie d’étendre leur hégémonie sur toute l’étendue du territoire. D’où la multiplicité des groupes terroristes au Mali.

Donc, quelqu’un qui se réclame de cette secte sera automatiquement perçu comme djihadiste.

En revenant à l’affaire dite de Diabali il y a anguille sous roche et l’ombre d’Iyag Ag Ghali apparaît.

Le refus d’obtempérer après sommation des Forces de sécurité est révélateur d’intentions malveillantes, car tout le monde sait que le Mali est en guerre. En tout état de cause, les enquêtes nous édifieront sur les intentions réelles des victimes parmi lesquelles il n’ya pas que des mauritaniens comme l’attitude des autorités mauritaniennes semblerait l’indiquer; en effet huit de nos compatriotes maliens font aussi partie des victimes, ce qui enlève à ces évènements tout caractère discriminatoire quelles que puissent être les responsabilités des uns et des autres. Selon une révélation top secrète est que ce convoi des djihadistes aurait quitté Annéfis (Kidal) après une rencontre. Pour tromper la vigilance de dispositif sécuritaire de l’armée. Le convoi est passé par la Mauritanie pour descendre à Diabali dans l’optique d’atteindre Bamako.

Gao :

Le Mujao applique la charia aux bandits du MNLA

Sale temps pour les anciens combattants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Selon notre source jointe sur place, le Mujao est entrain d’appliquer la charia aux éléments séparatistes de Gao. A l’en croire, ce sont les éléments du MNLA qui se seraient reconvertis en coupeurs de route qui ont été châtiés par les islamistes de Gao.

Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest (Mujao) aurait, selon des témoins à Gao, coupé le pied gauche et la main droite d’un braqueur lundi 10 septembre. Un châtiment exécuté sur la place publique, alors que quatre autres sentences de même nature auraient été exécutées avant.

Kidal :

Rencontre sécrète entre MNLA et Ancar-Dine à Kidal.

Le week-end dernier les éléments séparatistes de MNLA et les pseudos islamistes d’Ancar-Dine d’Iyad Ag Aghali se sont rencontrés à Annéfis une localité de la région de Kidal. Même si rien n’a filtré de ce conclave, selon notre source, il s’agirait probablement d’un rapprochement entre les deux anciens alliés au début de la crise malienne pour déloger le Mujuao dans les localités de Gao. A noter que dans la région de Kidal, le MNLA n’occupe que la commune de Tinzawaten, une partie du sud-est de Tinessako et Intagelit. Là, ils n’ont aucun problème avec Ancar Dine. Quelques heures avant cette rencontre, les responsables d’une organisation de la communauté des Dogons s’étaient rendus dans la ville de Kidal pour négocier le retour de la paix au Mali avec les occupants.

Prise de la ville de Douentza :

Une mise en scène !

Douentza est sous contrôle depuis avril 2012. Contrairement à des informations relayées par les médias, relatives à la prise de la ville de Douentza le 1er septembre dernier par le Mujao, cette ville est sous contrôle depuis la débandade de l’armée malienne au nord en avril dernier. Dans un premier temps sous la coupe du MNLA, avant de tomber définitivement sous le contrôle du Mujao. Ce groupe armé djihadiste contrôle de Douentza à Gao et jusqu’à Almoustrat, localité située à 140 km de Gao, sur la route de Kidal; il a aussi Ansongo et Bourem sous son contrôle. Il ne faut donc pas s’étonner du comportement de la soit-distante milice d’auto défense Ganda-Izo. Ces mercenaires roulaient au profit des bandits du MUJAO. D’après nos sources, c’est le leader des jeunes miliciens qui aurait convoyé la troupe du Mujao à bord de 9 pickups B.J avant de disparaître. Présentement les éléments de Mujao ne sont qu’une dizaine de personnes à rester sur place dans cette ville. Donc dire que les islamistes avancent vers le sud est une aberration. La bizarrerie dans cette affaire est que l’incident s’est produit le dimanche, le FDR a exigé à Dioncounda Traoré d’adresser une lettre à la Cedeao le lundi, l’ordre est exécuté le mardi et les maliens apprennent sur RFI le mercredi, la décision selon laquelle le Mali a accepté l’envoi des troupes de la Cédeao sur son sol. Une formidable mise en scène !

Pour la paix et la stabilité au mali

Un marabout offre un cheval blanc et du coran à GMT

Même, si l’ancien Président le Général Moussa Traoré (GMT) n’est pas un descendant du prophète, il doit être un homme très proche de Dieu. Il y a de cela quelques semaines un grand marabout de la place a offert à Moussa Traoré un beau cheval blanc et du coran en lui suppliant de prier pour notre pays. Chose qu’il a accepté de faire, surtout qu’il l’a toujours fait en vrai patriote. Selon le donateur, c’est lors d’un rêve qu’il lui a été dicté de faire ce sacrifice pour le retour de la paix au Mali et la réconciliation entre les fils du pays. Autrement, GMT est aujourd’hui l’espoir du Mali.

Nord-Mali : Le Président Blaise finance les bandits armés

De médiateur, le président Burkinabé se retrouve négociateur dans la crise malienne sans que nos autorités ne le récusent en se fondant sur le contentieux historique entre le Mali et le Burkina Faso. Comment Kati a-t-il accepté la médiation de ce sanguinaire ? Hier, parrain de Guillaume Soro, chef rebelle ivoirien, aujourd’hui hébergeur du capitaine Moussa Dadis, ce monsieur parraine les rebelles maliens et les finance au nez et à la barbe de tout le monde sans que personne ne dise mot. C’est Blaise qui négocie avec les bandits armés sur le sol malien de la libération des otages occidentaux, contre le payement de rançon se chiffrant à des dizaines de milliards de nos francs, sans l’aval préalable de Bamako. N’est il pas une manière de financer la rébellion tout chantage que l’Algérie a catégoriquement refusé pour la libération de ses diplomates. D’après un notable du nord sur les rançons Blaise prélève sa commission et le reste sert à alimenter les bandits armés. Pire c’est le sol des hommes intègres qui est devenu la base-arrière pour les éléments du MNLA. Pour la petite histoire, c’est Blaise qui aurait sauvé Cherif Ag Bilal, chef de MNLA lors des accrochages entre ce groupe séparatiste et le Mujao à Gao. Tout récemment, les services de renseignements français affirmaient que des camions bourrés d’armes auraient récemment été livrées au Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), via le Burkina Faso. Comme si cela ne suffisait pas; lors de son dernier séjour parisien en août dernier, Djibrill Bassolé, le ministre burkinabè des Affaires étrangères, proposa à l’Élysée et au Quai d’Orsay la médiation du Qatar dans la crise au Nord-Mali. Un pays lui-même soupçonné de soutenir le Mujao… Les Français, lui ont opposé un refus poli, arguant du nombre déjà très important d’interlocuteurs dans cette crise. L’objectif de Blaise n’est ni plus ni moins que d’avoir une main mise sur la sous région et un moyen de chantage sur ses Etats. En contrepartie de son maintien à vie au pouvoir. Mais ce qu’il oublie l’assassinat de Thomas Sankara ne restera pas impuni.

Compte a rebours

Les jours sont ils comptés pour ADO, Blaise et Condé ? Les ennemis du Mali courent à leur perte et compromettent dangereusement l’avenir de leurs pays respectifs. Ceux d’entre-eux qui utilisent, ne serait-ce qu’une infime partie de leur parcelle de pouvoir d’Etat, que cela soit en Afrique ou dans la région du Golf, ont intérêt à faire leurs adieux avant la fin des pluies. Tous les autres seraient bien inspirés se penser à leurs testaments.

La paix désertera le cœur des comploteurs et celui de leur descendance. maliba saura reconnaitre les siens.

Rassemblés par A.B.D et H.K.D

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