La thèse d'une vengeance perpétrée par une unité mixte de gendarmes et de bérets verts de l'armée de terre, pourrait expliquer le massacre de Diabali, dans la nuit du 8 au 9 septembre.
Check-point de Diabali, près de Ségou ? Le 10 septembre, une mission d'enquête militaire a été dépêchée sur place pour faire la lumière sur la mort des 16 membres (9 Mauritaniens et 7 Maliens) de la confrérie islamique de la Dawa tués dans la nuit du 8 au 9 septembre par des soldats qui, selon nos informations, appartenaient à une unité mixte de gendarmes et de bérets verts de l'armée de terre.... suite de l'article sur Jeune Afrique