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Intervention militaire au Mali : la Cédéao répond à Bamako
Publié le vendredi 21 septembre 2012  |  RFI


Déploiement
© aBamako.com par Didier ASSOUMOU
Déploiement d`une force au Mali: la Cédéao examine la situation.
Lundi 17 septembre 2012. Abidjan,Hotel Ivoire. Les ministres de la Défense et des Affaires étrangères de la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`Ouest réfléchissent sur la question du déploiement d`une force au Mali, dont le nord est occupé par des groupes islamistes armés.


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Le ministre ivoirien des Affaires étrangères Daniel Kablan Duncan est arrivé à Bamako ce jeudi 20 septembre au matin. Il est porteur de la réponse de la Cédéao au président Dioncounda Traoré à propos de la demande d'aide militaire du Mali auprès de ses voisins africains.

Alassane Ouattara, le président en exercice de la Cédéao avait promis de répondre rapidement au président Dioncounda Traoré. C'est chose faite avec cette lettre apportée ce jeudi matin par le ministre ivoirien des Affaires étrangères au président malien par intérim. Que dit cette missive ? On le saura dans la journée.

En début de mois, le président malien par intérim avait demandé de l'aide à la Cédéao pour reconquérir le Nord, mais il posait plusieurs conditions : oui à de l'aide matérielle, à du renseignement et à un soutien aérien, mais non à des militaires à Bamako.

Or, sur ce dernier point la Cédéao n'est pas d'accord. Hier mercredi, sur France 24, le médiateur Blaise Compaoré l'a redit : une éventuelle force d'intervention doit être présente à Bamako elle doit disposer d'un aéroport, d'une antenne médicale, de transmissions et d'un dispositif pour éviter à des mouvements armés de déstabiliser Bamako. En conclusion, pour le président burkinabè, « pour l'instant, les conditions ne sont pas réunies pour une intervention armée au Mali, et c'est Bamako qui bloque ».
... suite de l'article sur RFI

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