Excellence Monsieur le Président de la République du Mali,
Excellence Mesdames et Messieurs les représentants des partenaires du Mali,
Excellences Messieurs les médiateurs pour la crise Malienne,
Excellences Messieurs les facilitateurs pour la crise Malienne,
Excellence Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale du Mali,
Excellence Monsieur le Premier Ministre du Mali,
Excellences Mesdames et Messieurs les Ministres,
Excellence Monsieur le Ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale du Mali, chef de la délégation Malienne aux pourparlers inclusifs,
Excellence Monsieur le Haut représentant du Président Malien dans les pourparlers inclusifs inter-Maliens,
Excellence Monsieur le Ministre de la réconciliation nationale,
Excellence Monsieur le Ministre de la défense et des anciens combattants du Mali,
Excellence Monsieur le Ministre de la sécurité et de l’intérieur,
Excellence Monsieur le ministre de la communication, de l’économie numérique et de l’information du Mali,
Mesdames et Messieurs les participants aux groupes thématiques du processus d’Alger,
Mesdames et Messieurs les participants aux pourparlers inclusifs inter-Maliens,
Chers frères et sœurs Maliens,
La MISAHEL (Mission de l’Union Africaine pour le Mali et le Sahel) et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) ont organisé à Bamako, du 05 au 07 novembre 2014, le séminaire « Médias et Processus de paix au Mali ».
Nous les remercions pour ce séminaire qui a été d’un apport considérable.
L’ouverture de ce séminaire a été faite par le Ministre de l’économie numérique, de l’information et de la communication et la clôture par le Ministre de la réconciliation nationale du Mali.
J’ai été un des experts conférenciers invités et j’ai animé la session « Journalistes au service du vivre ensemble ».
Compte-tenu de la situation au Mali, afin d’aboutir à la réconciliation nationale, à la sécurité et à la paix durables, dans l’unité, les journalistes mais aussi tous les citoyens doivent être au service du vivre ensemble.
Après le rappel de ce qu’est le vivre ensemble (au point A) et des moyens pour cultiver et garantir le vivre ensemble (au point B), cette lettre ouverte définit :
- au point C, les moyens utilisables pour cultiver et/ou développer l’utilité et le vivre ensemble sans frontières,
- au point D, comment les journalistes et les citoyens pourront être mis au service du vivre ensemble,
- au point E, l’utilité, le vivre ensemble et la réconciliation nationale,
- au point F, comment Cultiver/Développer le (mieux) vivre ensemble dans la paix, la sécurité et l’unité.
A. LE VIVRE ENSEMBLE :
LE VIVRE ENSEMBLE EST DEFINI COMME UNE OUVERTURE A TOUS ET A TOUTES ET COMME FONDEMENT DE LA VIE, EN PARTICULIER DE LA VIE DEMOCRATIQUE.
IL PERMET DE GARANTIR UNE HARMONIE ENTRE LES ACTEURS.
UN DES MOYENS POUVANT CONTRIBUER AU VIVRE ENSEMBLE EST DE CONSTRUIRE DES ESPACES DE RENCONTRES ET D’ECHANGES SUR LA BASE DU RESPECT MUTUEL.
LE « TERROIR » EST DEVENU UN MODELE DU VIVRE ENSEMBLE AVEC SES COMMUNICATEURS TRADITIONNELS, SA RICHESSE EN MIXITE SOCIALE ET EN LIENS SOCIAUX.
LE QUARTIER « VILLAGE » est devenu un modèle.
Le Quartier « village », riche en mixité sociale, en liens sociaux, en commerces de proximité est devenu un modèle même dans les pays développés depuis la fin des années 1980.
B. CULTIVER ET GARANTIR LE VIVRE ENSEMBLE
On peut cultiver et garantir le vivre ensemble via :
- La citoyenneté,
- La participation : gouvernance participative ou démocratie participative,
- La solidarité et L’utilité,
- Le partage d’un ensemble de valeurs parmi lesquelles : le goût à l’effort, le travail en groupe, la résilience, la durabilité, la bonne gouvernance.
- La construction d’espaces de rencontres et d’échanges sur la base du respect mutuel.
ON NE DOIT PAS IMPOSER « LE VIVRE ENSEMBLE » MAIS LES ACTEURS DOIVENT Y ADHERER LIBREMENT.
C. L’UTILITE ET « LE VIVRE ENSEMBLE SANS FRONTIERES »
A l’ère de la globalisation des problématiques (environnementales, de développement durable, sécuritaires, énergétiques, …), de la société d’information (et de connaissances) et des communautés organisées sur des réseaux sociaux étendus au monde entier, il est indispensable que chaque citoyen ou acteur se pose la question suivante :
Comment pourrais-je être utile à moi-même, à ma communauté, à ma région, à mon pays et à l’humanité ?
D’une façon générale, comment chaque citoyen ou acteur pourra être utile à lui-même et aux autres (y compris des autres pays et des générations futures) ?
La réponse à cette question est en étroite liaison avec la citoyenneté, la gouvernance participative, la démocratie et la durabilité.
Après avoir rappelé brièvement les liens entre les termes, utilité, citoyenneté, gouvernance participative, démocratie, durabilité (prise en compte des besoins actuels et futurs) et résilience (capacités d’adaptation), nous verrons comment chaque citoyen ou acteur pourra améliorer son utilité (pour lui-même et pour les autres) et sa résilience par les renforcements de la démocratie, de la citoyenneté, de la gouvernance participative et de la durabilité.
Nous verrons que ces renforcements (de la démocratie (ou son rétablissement), de la citoyenneté, de la gouvernance participative et de la durabilité), sont des moyens efficaces pour permettre à tout pays, en particulier au Mali, d’établir le dialogue nécessaire pour réconcilier les différentes communautés, y établir, de façon pérenne, l’unité, la paix, la sécurité et la quiétude et y impulser son nécessaire développement durable et équitable.
1. Liens entre Utilité, Citoyenneté, Gouvernance participative et Démocratie
La question de départ (comment chaque citoyen pourra être utile à lui-même et aux autres ?)
est en étroite liaison:
a. avec la citoyenneté , c’est-à-dire comment exercer son rôle de citoyen d’un pays donné afin de participer à un (des) projet (s) commun (s) de ce pays (exemple projets de développement) ?
b. avec la gouvernance participative, c’est-à-dire comment participer aux décisions à tous les niveaux? Et
c. avec le moyen utilisé pour l’expression de cette citoyenneté et de cette gouvernance participative et pour leur efficacité, qu’est la démocratie.
D’après Wikipédia, « la citoyenneté est une composante du lien social. C’est en particulier, l’égalité de droits et de devoirs, associés à la citoyenneté qui fonde le lien social dans la société démocratique moderne ».
Ainsi, on se rend compte de l’intérêt de la démocratie comme moyen d’expression de la citoyenneté et de la gouvernance participative. Elle sert pour chacun à exercer efficacement son rôle de citoyen et à participer aux décisions aux niveaux local, régional, national et international. Elle donne ainsi les moyens d’être utile à soi-même et aux autres.
Intimement liée à la démocratie, la citoyenneté définit le rôle de citoyen par le respect des droits (civils, politiques, …) et des devoirs (civiques et des devoirs envers les autres, en particulier les générations futures).
Cette dernière fait partie des ciments unificateurs (citoyenneté, démocratie, bonne gouvernance (gouvernance participative, ...), cohésion sociale, impartialité, équité, intégration équitable des communautés dans la nation, solidarité, prise en compte des exclus, des vulnérables, ...) d’une société ou liens sociaux.
LA DEMOCRATIE EST UN MOYEN EFFICACE POUR ETRE UTILE, EXPRIMER SA CITOYENNETE, POUR REVENDIQUER, POUR PARTICIPER EFFICACEMENT ET POUR AGIR AFIN DE CONSTRUIRE SON PAYS ET POUR ETRE EN INTERACTIONS AVEC LES AUTRES.
2. Renforcement de la démocratie, de la durabilité et de la résilience
Renforcer la démocratie, c’est fournir plus de moyens pour améliorer l’utilité de chaque citoyen ou acteur pour lui-même et pour les autres en lui donnant plus de possibilités d’exprimer sa citoyenneté (ses droits et ses devoirs) et sa participation aux décisions aux niveaux local, régional, national et international.
Donc, renforcer la démocratie, c’est fournir plus de moyens (des droits mais aussi des devoirs incluant les devoirs envers les autres régions ou territoires ou pays ou les générations futures) pour éventuellement améliorer la durabilité des acteurs et celles des communautés, des régions et du pays dans le cadre d’un développement durable et/ou équitable.
Comme le développement durable, la durabilité permet la prise en compte des besoins des générations actuelle et future.
La résilience est l’ensemble des capacités d’adaptation face aux risques et aux problèmes de tout type y compris à ceux liés aux changements climatiques. Les durabilités des acteurs, des communautés, des organisations et du pays sont liées à leurs résiliences respectives.
Quels liens entre démocratie, durabilité et solidarité ?
La démocratie permet de donner une légitimité à des représentants élus pour défendre des intérêts généraux (en général, de ceux qui les ont élus) lors des prises de décisions auxquelles ils seront confrontés en exerçant leur pouvoir. Ces représentants sont élus :
1. pour un temps limité à leur mandat (alors, afin de garantir la durabilité temporelle (dans le temps), au delà de leur mandat, comment prendre en compte la solidarité entre les générations ou les besoins des générations futures ?) et
2. dans un espace limité c’est-à-dire une commune ou une région ou un territoire ou un pays ou une communauté pouvant s’étendre sur plusieurs régions ou plusieurs pays.
Dans ce cas, afin d’assurer la durabilité spatiale ou géographique, comment prendre en compte la solidarité entre zones ou territoires ou régions ou pays ou communautés ?
Pour prendre en compte la solidarité entre les générations et assumer de ce fait une responsabilité vis-à-vis des générations futures en prenant en compte leurs besoins, un processus consensuel [1, 2, 3] regroupant tous les acteurs, toutes les communautés et toutes les sensibilités est nécessaire pour établir un compromis indépendant des intérêts individuels et du pouvoir. Un tel processus a été utilisé efficacement, en 2001/2002, en France concernant l’environnement (grenelle de l’environnement).
Concernant la solidarité entre régions ou communautés ou pays, une approche globale intégrant tous les niveaux de gouvernance (de pouvoir) du local au global (régional ou national ou international) est nécessaire car certaines activités locales pourront avoir des impacts globaux. Cette approche peut être une des composantes du processus consensuel précédent ou d’une gouvernance consensuelle et participative [1, 2].
On pourra, par exemple créer des services mutualisés entre plusieurs régions d’un pays donné, mais aussi entre plusieurs pays d’une sous-région donnée, exemples la région sahel pourra partager des services de sécurité et de résilience mais aussi des services de fourniture d’énergie électrique.
La durabilité exige la prise en compte des durabilités temporelle et spatiale et donc des deux types de solidarité, entre générations et entre régions ou pays ou communautés.
Pour assurer le développement durable et/ou équitable d’un pays et l’intégration équitable des communautés dans ce pays, la prise en compte de la durabilité, et donc de la résilience (des acteurs, des communautés, des organisations et du pays), est indispensable.
Prendre les armes est antidémocratique, n’est pas utile et ne peut que mener à des destructions et à la division et non à la construction durable et solidaire d’un pays ou d’une communauté.
3. Citoyenneté, Mondialisation et Économie de l’utilité
A l’ère de la globalisation, le citoyen « mondialisé », dit e-citoyen, utilise des moyens TIC (Technologies d’Information et Communication) pour jouer son rôle et pour participer aux décisions aux niveaux local, régional, national et international. En plus d’être consommateur, il devient de plus en plus producteur d’informations, de contenus et de services et participe à des communautés pouvant s’étendre sur plusieurs pays, à travers des réseaux sociaux.
Cet e-citoyen étend le concept de démocratie et sa portée (spatiale ou géographique) mais aussi de l’utilité à tout ce qui peut apporter de la « valeur ajoutée » à un citoyen ou à une communauté ou un groupe ou à une organisation ou à un pays.
En économie, l’utilité pour des acteurs mesure le bien-être ou la satisfaction induite par l’utilisation par ces acteurs d’un service ou d’un bien. D’où l’introduction de l’économie de l’utilité ou de l’usage qui caractérise le fait que tous les acteurs d’un système (exemple des e-citoyens sur internet) cherchent à optimiser leur utilité en utilisant des ressources et des services qui pourront être situés partout dans le monde et pas seulement ceux de leurs communautés ou organisations ou pays.
C’est ainsi, qu’en utilisant la coopération à travers les réseaux, plusieurs services ou contenus pourront être mutualisés et/ou mis à disposition des citoyens, on pourra améliorer leurs durabilité et résilience mais aussi celles de leurs communautés, de leurs organisations et de leur pays. De même, la solidarité, l’intégration et la coopération entre organisations ou communautés ou régions ou pays pourront être crées.
Le citoyen mondialisé (e-citoyen) est, en général, plus sensible à la démocratie et à son renforcement et est plus ouvert à l’intégration entre communautés, à la coopération et au développement.
4. Cas du Mali
Au Mali, la démocratie est mise à mal depuis la rébellion au Nord Mali et les événements qui ont suivi : le coup d’état du 22 mars 2012 et la manifestation, du 21 mai 2012, ayant aboutie aux blessures du chef d’État de la période de transition au Mali.
Tous les éléments dont on a parlé dans les points précédents (1 à 3), concernant la citoyenneté, la gouvernance participative, la démocratie, la durabilité, la résilience et l’économie de l’utilité, sont aussi applicables au Mali.
Les Maliens doivent prendre en compte ces éléments pour cultiver/développer le vivre ensemble ET pour travailler ensemble pour un retour de la démocratie (ou pour son renforcement), pour la paix et l’unité nationale, pour la sécurité et la résilience des acteurs, des communautés, des organisations et du pays, pour l’intégration équitable des communautés et des régions, pour la coopération entre régions et entre pays et pour le développement durable et équitable du Mali.
C’est uniquement à travers la démocratie (expression de la citoyenneté et de la gouvernance participative) en prenant en compte la durabilité et la résilience que tous les Maliens, ensemble, trouveront la solution au problème actuel du Mali en DEVELOPPANT LE VIVRE ENSEMBLE et en permettant le dialogue nécessaire pour réconcilier les différentes communautés et pour être utiles en participant au projet de création d’un Mali nouveau, démocratique, uni et solidaire où régnera, de façon pérenne, la paix, la sécurité et la quiétude pour un développement durable et équitable et pour le bien-être de tous.
D. COMMENT LES JOURNALISTES ET LES CITOYENS POURRONT ETRE MIS AU SERVICE DU VIVRE ENSEMBLE ?
D.1. Cas des journalistes
Les journalistes POURRONT AIDER les citoyens à cultiver et développer ce vivre ensemble A TRAVERS, ENTRE AUTRES :
- LA SENSIBILISATION,
- LA FORMATION,
- LA PARTICIPATION A LA CREATION ET A L’ANIMATION D’ESPACES DE RENCONTRES ET D’ECHANGES,
- CONTRIBUER A L’ANIMATION DE PROJETS COMMUNAUTAIRES,
- SERVIR D’INTERFACES ENTRE LES POPULATIONS (CITOYENS) ET LES POUVOIRS PUBLICS ET LES PARTENAIRES.
- SERVIR D’INTERFACES AVEC LES POPULATIONS EN S’ADAPTANT AUX CONTEXTES.
Le travail des Journalistes en langues doit être valorisé.
D.2. Cas des citoyens
Comme pour les journalistes, les citoyens qui en ont la capacité pourront aussi aider ceux qui n’en ont pas à cultiver et développer le vivre ensemble à travers les points précédents.
Tout citoyen pourra utiliser des moyens (cf les points B et C) dont la démocratie (comme moyen d’expression de sa citoyenneté et de sa participation aux niveaux décisionnels) pour contribuer au vivre ensemble et aux processus d’établissement et/ou de renforcement des solidarités géographique (inter-régions, inter-pays, …) et intergénérationnelle.
Il pourra ainsi contribuer à renforcer sa résilience et celle des autres mais aussi renforcer la durabilité de sa région, de son pays et de sa communauté.
E. L’UTILITE, LE VIVRE ENSEMBLE ET LA RECONCILIATION NATIONALE
Soyons utiles à nous-mêmes et aux autres (Maliens, …) où qu’ils se trouvent à travers la solidarité, la mutualisation et le partage.
Partageons les moyens (cf les points B et C) pour cultiver et développer le vivre ensemble.
C’est ainsi qu’on pourra se réconcilier entre Maliens et bâtir durablement le Mali Nouveau Un et Indivisible et ses régions dans l’unité.
Aime ton prochain, comme dit le coran et la bible, et tous les Maliens où qu’ils se trouvent.
Bâtissons ainsi le vivre ensemble ou le mieux vivre ensemble partout au Mali, en toute sécurité, dans la paix et l’unité.
F. CULTIVER/DEVELOPPER LE (MIEUX) VIVRE ENSEMBLE DANS LA PAIX, LA SECURITE ET L’UNITE
Le droit légitime des populations, c’est de vivre ensemble, une vie paisible, entre tous les frères et sœurs Maliens ET de construire, ensemble, l’avenir du Mali Un et Indivisible.
Le droit légitime des populations, c’est le bonheur de TOUS dans un Mali réconcilié et sécurisé, intégrant toutes ses communautés et toutes ses composantes y compris le nord du Mali.
Cultivons la culture du vivre ensemble, de la sécurité et de la quiétude.
Semons les graines du vivre ensemble partout au Mali et récoltons la réconciliation nationale, la sécurité et la paix durables au Mali.
C’est cela l’attente de TOUS.
Vous trouverez ci-dessous mes vœux pour le Mali et vous, quels sont les vôtres ?
Moi, je voudrai un Mali où chacun(e) ira dormir chez l’autre comme le faisaient nos ancêtres.
Moi, j’aimerai un Mali solidaire, sans frontières entre les cœurs, où aimer signifiera s’ouvrir à tous et partager tout sans retenue et sans discrimination.
Moi, je donnerai tout pour un Mali où on n’oubliera pas nos enfants et petits enfants et l’environnement dans lequel ils vivent et vivront.
Moi, j’opte pour un Mali où le rêve devient réalité, où le vivre ensemble devient naturel et où la réconciliation nationale, dans l’unité, s’impose d’elle-même.
TOUS, ensemble, nous pouvons créer, dans l’unité, ce Mali nouveau, du vivre ensemble, de pardon et de paix, Un et Indivisible, et sans frontières entre les cœurs.
G. CONTACT
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Webanassane@yahoo.com
TEL (00223) 78 73 14 61
H. REFERENCES
[0] Dr ANASSER AG RHISSA, Lettre ouverte au Président du Mali, aux Maliens et aux Partenaires pour un appel à la paix durable et aux pourparlers inclusifs inter-Maliens dans l’unité, publiée sur mali jet et mali web, 24 juin 2014.
[1] Dr ANASSER AG RHISSA, [Proposition] Gouvernance consensuelle et participative
pour changer de comportement afin de s’accepter et travailler ensemble, Paru sur
facebook, 14 juin 2011, adresse internet :
http://www.facebook.com/UnisSolidairesdurablementpourtous#!/notes/unissoli
daires-durablement/proposition-gouvernance-consensuelle-et-participativepour-
changer-de-comporteme/232277710120135
[2] Les conférences des citoyens : L’Agora du 21 ième siècle ?, septembre
2004, adresse internet (téléchargement possible):
http://www.affairespubliques.com/fr/page5.htm
[3] Rapport officiel du panel des citoyens, CFDD, Conférence de citoyens
« changements climatiques et citoyenneté », 2002