Dans son discours à la nation à l'occasion de la fête de l'indépendance prononcé vendredi 21 septembre, le président Dioncounda Traoré a appelé les groupes armés qui contrôlent le nord du pays à «accepter de s'engager dans la voie du dialogue et de la négociation de façon sincère et constructive». Une main tendue reçue de façon mitigée par les groupes islamistes.
« La charia. Rien que la charia ! ». Selon Oumar Hamaha, porte-porte du Mujao (Mouvement pour l'unité du jihad en Afrique de l'Ouest) et de l'ensemble des islamistes au nord, la discussion est possible avec Bamako, à une condition : la soumission totale à la loi divine. ... suite de l'article sur RFI