La France a affirmé ce jeudi avoir porté « un coup très dur » aux jihadistes dans la bande sahélo-saharienne en tuant, lors d’un raid militaire dans la région de Gao, au nord du Mali, un de leurs principaux chefs, Ahmed al-Tilemsi. Membre fondateur du Mujao, il était aussi un cadre important d’al-Mourabitoune au Mali.
Le nom d’Abderhamane Ould al-Amar, alias Ahmed al-Tilemsi, figurait depuis longtemps en haut de l’organigramme des cadres d’al-Mourabitoune susceptibles d’intéresser l’armée française. Dans la nuit de mercredi à jeudi, celui que les services français considéreraient comme le responsable des opérations intérieures au Mali a été tué par les forces françaises, très certainement lors d’un raid des forces spéciales, généralement chargées des opérations ciblées
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