Son excellence Ibrahim Boubacar Keita et son gouvernement déterminés à combler les défaillances de notre grand Maliba. Elu majoritairement par les maliens et selon certains, même les génies ont voté, pour lever toute équivoque quant à la résolution des grands problèmes qui assaillent le pays (Mali). A savoir le grand problème du nord du Mali, le chômage des jeunes, la corruption, l’impunité, l’éducation, la sécurité alimentaire, l’accès à l’eau potable entre autres…
Il y a un adage qui dit : »Vouloir, c’est pouvoir ». IBK et son gouvernement veulent, peuvent et pourront Inch Allah, combler les insuffisances de ce pays. Déjà nous sommes en cours de deuxième année et vers la troisième et bientôt le mi-mandat. Et pas mal de ces problèmes ont été aplanis ou ont connu un règlement définitif.
Quant au problème du nord, une clarification nette a été donnée par le président lors des vœux de nouvel an, ou à travers ses interviews à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Une commission de dialogue et de réconciliation a été instaurée pour avoir une paix globale et définitive. La première phase des négociations à Algera permis d’avoir une feuille de route; nous en sommes actuellement à la préparation de la dernière phase et notre souhait ardent est que ça se passe dans l’intérêt du pays.
Bon vent aux hautes personnalités déléguées pour la réussite de cette phase ultime des négociations.
Quant au chômage des jeunes, on constate une amélioration et la transparence dans les concours d’accès à la fonction publique. Pour relever le défi, IBK a promis la création de 200000 emplois en cinq ans. Le Premier ministre Moussa Mara et les membres du gouvernement ont mis des stratégies en place pour satisfaire ces besoins.
Selon le ministre de l’Emploi et de la formation professionnelle, au cours d’un point de presse, 7579 emplois créés ont été enregistrés sur l’ensemble du territoire. Et d’autres dispositions sont en cours avec l’APEJ, l’ANPE et d’autres structures.
La corruption, l’impunité : deux expressions voisines qui coexistent ensemble. On ne saurait parler de la première sans la seconde. Mais IBK a décrété l’année de lutte contre la corruption pour éradiquer ce fléau. Déjà le ministre de la Justice, garde des sceaux et des droits de l’homme, M. Mohamed Bathily a administré la preuve en pointant du doigt la responsabilité de quelques principaux acteurs de la justice (les magistrats). Donc nul n’est plus au dessus de la loi, l’autorité de l’Etat est en voie de restauration définitive. ‘’Auteur, incitateur à la corruption gare à vous.’’
L’éducation aussi connait une avancée notable avec l’amélioration des conditions en mode des élèves et étudiants, la multiplication des bourses d’études à l’extérieur, la sérénité revenue sur le domaine scolaire et universitaire, la régularité des trousseaux, bourses et l’amélioration des infrastructures: (L’université de Kabala).
La sécurité alimentaire est en voie de réalisation avec plusieurs projets, notamment : le Programme d’appui à la sécurité alimentaire et le projet (FARE) qui prévoit un déploiement de plus de 150000 jeunes vers les zones rurales pour l’exploitation des terres. De ces perspectives, Il apparaît clairement serait que le Mali soit le grenier du continent africain, dixit le Premier ministre.
L’accès à l’eau potable pour tous est un domaine qui ne sera pas négligé par le chef de l’Etat et son gouvernement. Avec le programme d’eau et assainissement, les populations auront de quoi les satisfaire. On constate déjà la création d’une usine (société de boisson d’eau minérale à Kati) et des nombreux forages
Dans l’ensemble on peut se permettre de dire que le Mali est sur la bonne voie.
Bassala Touré