Le Mali était au coeur des discussions à New York en marge de l'assemblée générale hier, mercredi 26 septembre. Le principe d'une force d'intervention contre les groupes islamistes du Nord est désormais acquis. Le Premier ministre malien Cheick Modibo Diarra en a fait la demande formelle. C'était une étape essentielle, mais ça ne veut pas dire que l'envoi d'une force sous l'égide de l'ONU est effectif. Le processus devrait prendre encore plusieurs mois avant que des soldats ouest-africains puissent fouler le sol malien.
Prochaine étape : la réunion du Conseil de sécurité des Nations unies. C'est en effet aux quinze membres de donner leur feu vert à une intervention militaire sous l'égide des Nations unies. Au plus tôt, cette réunion pourrait être convoquée la semaine prochaine. Mais il faut avant que la résolution qui sera soumise au vote soit finalisée.... suite de l'article sur RFI