Si l’armée malienne paraît divisée, on sait désormais que la police n’est pas épargnée par les tensions nées de la tentative manquée de contre-coup d’État, le 30 avril dernier.
La fusillade qui a éclaté mercredi 26 septembre au matin dans le camp du Groupement Mobile de Sécurité (GMS), à Bamako, a révélé le climat de tension qui règne au sein de la police malienne. D’après le ministère de la Sécurité intérieure et de la Protection civile, c’est « une promotion à titre exceptionnel de certains fonctionnaires de police à des grades supérieurs qui a fait l’objet de contestation au sein de la famille policière. »... suite de l'article sur Jeune Afrique