Les Administrateurs du Conseil d’administration du Centre hospitalo universitaire du Point G se sont réunis lundi 16 mars 2015 dans les locaux de la structure pour la tenue de la 36ème session ordinaire de leur Conseil d’Administration.
La session était présidée par le Pr Bibi Diawara, le PCA, qui avait à ses côtés le Directeur Général du CHU du Point G, Mamady Sissoko. Après vérification des mandats, les Administrateurs ont planché sur deux points: l’adoption du rapport d’activités 2014 et le projet de budget 2015.
Aux dires du Directeur Général du CHU du Point G, l’année 2014 a été marquée par la réalisation des activités du plateau technique, avec 50 000 examens de laboratoire, 30 000 examens de radiologie, 20 000 prises en charge et beaucoup de réalisations au niveau du bloc opératoire (avec environ 20 000 prises en charge).
Le projet de budget 2015 est estimé à 5.031.784.950 de FCFA, contre environ 5.000.000.000 FCFA en 2014. Ce projet de budget s’inscrit dans la continuité des activités programmées en 2014, a-t-il souligné.
Il dira en outre que l’année 2015 doit être considérée comme l’An III du 2ème projet d’établissement, couvrant la période 2013 – 2017. Rappelons que le budget 2015 est constitué des subventions de l’Etat, qui s’élèvent à 4.971.964.000 FCFA, et des ressources propres (recettes hospitalières et appuis des partenaires), évaluées à 1.059.820.950 FCFA.
En interview, le Directeur Général du CHU du Point G a déclaré que les perspectives sont immenses et que son CHU disposera d’un budget très ambitieux, qui s’articulera principalement autour de la construction du nouveau service de Rhumatologie et le renforcement du plateau technique, par l’acquisition d’équipements médico-techniques.
S’y ajouteront le renforcement de la capacité opérationnelle par l’acquisition de mobiliers , de matériels de bureau et de matériels informatiques, la mise en place d’un système de management qualité, le renforcement de la capacité des ressources humaines, notamment le recrutement de personnels (médicaux, paramédicaux et de soutien) et la formation des agents, a expliqué Mamady Sissoko.
Adama Bamba