Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



L'Indépendant N° 3125 du 17/10/2012

Voir la Titrologie

  Sondage

Que pensez-vous de l’attaque terroriste perpétrée contre l’Hôtel Radisson de Bamako?

Il s’agit d’une oeuvre de ceux qui sont jaloux de l’accord de paix et de réconciliation signé en juin.
C’est un acte anodin visant seulement les occidentaux.
Les services de sécurité maliens sont trop défaillants.
Sans opinion

Voir résultats   Voir Archives


 Autres articles

 Météo


Comment

Politique

Le ministre français de la défense, Jean-Yves Le Drian, à propos de l`envoi d`une force au nord du mali : " l`intervention militaire est une question de quelques semaines "
Publié le mercredi 17 octobre 2012  |  L'Indépendant


Jean-Yves
© Autre presse par DR
Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense de la France


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le ministre de la Défense souligne qu`il n`y aura pas, côté français, de "troupes au sol. Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a assuré mardi qu`une intervention militaire africaine au Mali dans ce qui devient "un sanctuaire terroriste" pouvait avoir lieu dans "quelques semaines". "C`est une question de quelques semaines, pas plusieurs mois, des semaines", a déclaré Jean-Yves Le Drian, interrogé par France 2 sur le moment où pouvait être déclenchée une telle intervention.

Il avait auparavant rappelé les étapes devant suivre le mandat donné aux pays d`Afrique de l`Ouest pour une telle intervention. "Il y a la décision des Nations unies qu`il importe de respecter", a rappelé Jean-Yves Le Drian. "Le Conseil de sécurité, après l`intervention de François Hollande a l`Assemblée générale de l`ONU, a donné mandat aux pays de l`Afrique de l`Ouest de s`organiser pour, qu`il y ait une intervention afin de rétablir la souveraineté du Mali. Ils ont 45 jours pour le faire, ils ont une planification à mettre en place, ils s`y attellent aujourd`hui et, après, le Conseil de sécurité devra à nouveau dire qu`il soutient l`intervention".

"Dans cette affaire la France - et l`Europe - soutient, explique, aide à la planification, forme, apporte logistiquement ce qu`il convient d`apporter", a dit le ministre sans vouloir "donner aux rebelles toutes les indications". Mais "il n`y aura pas de troupes au sol". "Aujourd`hui, le Sahel devient un sanctuaire terroriste", a argumenté Le Drian. Depuis le printemps, "un certain nombre de groupes, des centaines de rebelles, fondamentalistes, trafiquants d`armes, de drogue, d`hommes" ont "séparé le Mali en deux". "L`intégrité du Mali, c`est la sécurité de l`Europe", a assuré ce proche du président François Hollande.

 Commentaires