Au cours de sa visite au Qatar, du 21 au 24 octobre, Dioncounda Traoré s'est heurté à un mur. Si le président malien par intérim a fait passer son message au cheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani, soupçonné de complicité au moins passive avec les groupes islamistes armés qui contrôle le Nord-Mali, celui-ci a nié toute influence dans la résolution de la crise malienne.
Le 22 octobre dernier, Dioncounda Traoré, a rencontré l’émir du Qatar, Cheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani, à Doha. Le président par intérim du Mali n’avait qu’une mission : convaincre l’émir du Qatar d’être à son côté dans la crise malienne. « Le Qatar est un pays important qui a de plus en plus d’influence au Moyen-Orient. C’est un partenaire stratégique », glisse un membre de la délégation de Dioncounda Traoré.... suite de l'article sur Jeune Afrique