La Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a menacé lundi 14 mai les auteurs du coup d’État au Mali de nouvelles sanctions, les accusant de bloquer le retour du pouvoir civil. De son côté, le leader de l’ex-junte a appelé les autorités par intérim du pays à organiser une "convention" nationale afin de désigner le président de transition.
Réunis lundi 14 mai à Abuja au Nigeria pour un nouveau sommet extraordinaire, les chefs d’état-major de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) ont menacé l’ex-junte malienne de nouvelles sanctions. « La commission de la Cedeao suit particulièrement la situation et ne tolèrera pas que des individus prennent la transition en otage », peut-on lire dans un communiqué. ... suite de l'article sur Jeune Afrique