Voilà, le cri de détresse d’un agent de la Promotion de la Femme.
Comme s’il ne fallait pas plus pour ajouter à la colère d’un milieu où
nous ignorons l’essentiel des colères, des déceptions des cadres et
agents en fonction, notre article, contrairement à nos attentes, est
devenu une aubaine pour des travailleurs d’un département, excédés et
découragés, ne restant plus tranquilles dans leurs fauteuils.
Aux yeux de ces cadres et agents, Madame Sangaré Oumou Bâ n’a rien à y
cirer, elle doit rendre le tablier, à moins que le président de la
République ne l’a renvoie dans sa normale et tranquille tâche de
‘’Mamy’’, à la maison bien entendue. Une lettre d’appel à l’aide, un
cri de détresse dans une lettre d’un agent en poste dans l’une des
Directions relevant du département dont Madame Sangaré Oumou Bâ, a la
charge.