Les desseins et les ambitions démesurés d’un homme, de surcroit, riche peuvent le conduire à commettre des erreurs. Tel semble être le cas de ce jeune riche répondant au nom d’Oumar Koné qui, en parfaite complicité avec le maire décrié de Kalaban-Coro, Issa Bocar Ballo, s’est accaparé injustement du marché des milliers de pauvres femmes (veuves, démunies, des couches défavorables) de Kalaban-Coro Falakônô.
Dans notre dernière parution, nous titrions : «Injustice flagrante à Kalaban-coro Falakônô : le maire et un jeune riche, Oumar Koné, chassent des pauvres femmes de leur marché ».
Eh bien ! Nous vous avions promis de revenir sur cet accaparement au détriment des pauvres femmes veuves. En effet, ces pauvres femmes ont été chassées de leur marché à cause de l’ambition et les desseins étranges du jeune riche agent immobilier, Oumar Koné qui agit en parfaite complicité avec le maire de Kalaban-Coro, Issa Bocar Ballo, un véritable spéculateur foncier devant l’eternel !
Le jeune puissant agent immobilier n’a eu aucune pitié pour ces pauvres femmes (qui ont englouti beaucoup d’argent pour l’aménagement de la parcelle). Il s’est accaparé de leur marché pour en faire une mosquée tant bien même qu’une mosquée est déjà construite distant de seulement 100 mètres seulement.
Que cache l’obstination du jeune Koné ?
Nous nous sommes transportés sur les lieux, afin de recueillir des témoignages et des propos des habitants. De ces propos, il ressort que le jeune Koné mène une politique très obscure. Selon l’avis général, le jeune Koné qui veut coûte que coûte construire une mosquée sur la place du marché des pauvres femmes, ne le fait pas parce qu’il est musulman ou qu’il aime la religion musulmane, mais plutôt pour s’enrichir sur le dos des arabes qui financent la construction de ladite mosquée. En clair, il se raconte partout, que sa politique consiste à se rendre dans les pays arabes et chercher des partenaires avec lesquels, il prend beaucoup d’argent pour la construction d’une mosquée et vient injecter le quart ou bien le tiers de l’argent dans la construction de cette soi-disant mosquée.
Pour la énième fois, M. Koné n’a pas accepté de nous rencontrer afin de nous relater sa version des faits.
En somme, les pauvres femmes sont victimes de ce jeune agent immobilier qui est prêt à tout pour avoir de l’argent facile, en se cachant derrière la religion musulmane.
Affaire à suivre