Au Mali, « la fragilité de l'Etat de droit et les abus mettent en péril la population », affirme l'association de défense des droits de l'homme Human Rights Watch, dans un rapport publié mardi 14 avril. Plus de deux ans après le début de l'intervention militaire française, puis internationale dans le pays, l'association met également en lumière l'apparition d'un nouveau groupe jihadiste dans le pays.
Des groupes rebelles menés par le MNLA, aux terroristes islamistes menés par al-Qaïda, en passant par les milices pro-gouvernementales et les bandits de grand chemin, sans oublier les forces de sécurité maliennes : tout le monde y passe. Human Rights Watch pointe les attaques des uns ou les abus des autres, et dénonce une situation d'« anarchie » et d'« insécurité généralisée », notamment dans le nord du Mali. Mais pas seulement.
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