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Abdoulaye Diop : "La paix pour le Mali passe par l’accord d’Alger"
Publié le vendredi 24 avril 2015  |  Jeune Afrique
Cérémonie
© aBamako.com par Momo
Cérémonie de restitution de la fin du cinquième round des pourparlers intercalions d` Alger
Bamako, le 02 mars 2015. Hôtel Radisson Blu. Le ministre DIOP a organisé avec Zahabi et ministre KONATE, la cérémonie de restitution de la fin du cinquième round des pourparlers intercalions d` Alger




Abdoulaye Diop, le ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, revient sur le préaccord d'Alger que la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA) refuse toujours de signer, malgré les pressions internationales. Interview.
Jeune Afrique : Le dernier rapport du secrétaire général de l’ONU paru début avril accuse le Mali et les mouvements rebelles de violations du cessez-le-feu. Êtes-vous surpris ?
Abdoulaye Diop : Ça m’a choqué et surpris en même temps. Le cessez-le-feu est surveillé par la Minusma, le Comité mixte et technique de sécurité, et les équipes mobiles d’observation. À aucun moment ces mécanismes ne nous ont signalé une violation du cessez-le-feu de notre part. On nous explique maintenant ces accusations en faisant référence au Gatia (Groupe armé touareg Imghad et alliés). C’est une manipulation.
Pourtant la Minusma a bien découvert, et même soigné, au mois de janvier dernier à Gao, des soldats maliens qui revenaient de combats contre les mouvements armés engagés dans le processus de paix…
Il y a des positions données pour chacune des parties et il y a des affrontements qu’il faut éviter. Je n’ai pas dit qu’il n’y avait pas eu d’incidents, mais à aucun moment les instances chargées de la surveillance ne nous ont approchés pour nous dire que nous avons violé le cessez-le-feu, et c’est ce qui n’est pas acceptable pour nous.
Après New-York, vous vous êtes rendu à Alger, suite à l’invitation de la médiation internationale dans la crise malienne. Concrètement, de quoi avez-vous parlé ?


... suite de l'article sur Jeune Afrique

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