Le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé vendredi « la cessation immédiate des hostilités » entre l'armée et les rebelles touaregs dans le centre du Mali et a menacé les fauteurs de trouble de sanctions. Les différentes parties au conflit ont jusqu’au 15 mai pour s’entendre. Mais sur le terrain, les violences continuent, notamment dans la région de Ménaka et dans l'ouest de Tombouctou.
Les diplomates du Conseil de sécurité s'inquiètent de voir les récentes violences dans le nord du Mali saper les efforts de réconciliation et menacer la signature de l'accord de paix. Dans une déclaration adoptée par consensus, les quinze pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont réitéré leur appel aux deux camps à signer, comme prévu, un accord de paix le 15 mai à Bamako.
... suite de l'article sur RFI