Société
Rébellion et banditisme: Une tentative d’embraser notre pays
Publié le mardi 5 mai 2015 | La Nouvelle Patrie
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© RFI par DR
Mahamadou Djeri Maiga, vice-président du MNLA et sa délégation sont à Alger pour discuter des accords de paix, le 16 juillet 2014. |
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Le mot n’est pas fort, il illustre la détermination d’une catégorie de maliens qui ont finalement accepté détruire notre pays le Mali pour de l’argent.
De Kidal à Macina en passant par le Djitoumou, à moins de 80 kms de la capitale, ce sont finalement de groupes de bandits, mus par l’appât du gain facile, qui perturbent la quiétude et la tranquillité de notre pays, s’ils ne l’ensanglantent tout simplement pas.
Après les mouvements et groupes terroristes qui écument les régions du nord, notamment Kidal, Gao et Tombouctou et ceux du Macina, sous la fallacieuse appellation de mouvement de libération du Macina, voilà, un nouveau groupe de bandits qui se signale juste à l’entrée de
Bamako, la capitale. A Ouelessebougou, dans le Djitoumou. Ses chefs, des anciens fonctionnaires de la gendarmerie et de la Garde républicaine, admis à la retraite depuis, ont refait surface de la manière la plus abjecte. De leur paisible bourgade, ils recrutaient leurs propres enfants pour les envoyer combattre leur propre pays, au profit de narco-jihadistes, apatrides et souvent inconnus de par leur naturelle appartenance au Mali. Grâce à Dieu et à la détermination des autorités de la République, ces sinistres individus sont désormais
hors d’état de nuire.
C’est à Gao, que le pot au rose a été découvert avec l’interpellation de 29 maliens apatrides, venant tous de Ouelessebougou, une sous préfecture installée dans le voisinage de la
capitale. Le groupe de bandits se proclamant comme un mouvement appelant au retour de la dignité, aiderait à métastaser la terreur dans notre pays par la création d’une multitude de foyers de banditisme de grands chemins.
Ces traitres à la mère patrie, ne passeront pas, ils seront vaincus où qu’ils trouveront, parce que, en face, il y a des maliens prêts à se battre et mourir s’il le faut, pour l’honneur et la dignité du Mali, un, indivisible et éternel.
Kamaye Kondo

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