Notre pays va vivre aujourd’hui un événement historique avec la signature de l’Accord de paix et de réconciliation issu des pourparlers d’Alger. A cette occasion, nous avons demandé à deux spécialistes du droit international d’analyser la portée de la signature d’un tel document. Et aussi les implications de la non signature par l’une des parties aux négociations. Me Amadou Tiéoulé Diarra et Abdoulaye Séma Sissoko, tous deux professeurs d’université, situent la portée de l’événement.
Me Amadou Tiéoulé Diarra souligne d’entrée de jeu l’importance de la signature d’un tel accord. Pour le cas de l’Accord de paix d’Alger, le professeur de droit confirme sa portée considérable sur les plans politique et juridique. Il note que la portée de la signature est différente selon que l’on considère l’accord en forme solennelle ou en forme simplifiée.
... suite de l'article sur L’Essor