Il faudra encore attendre pour que la rébellion approuve l’accord pour la paix et la réconciliation du Mali. Vendredi, à Bamako, la cérémonie officielle à laquelle le gouvernement avait convié un aréopage de chefs d’Etat et de gouvernement pour assister à la signature du texte paraphé la veille à Alger s’est déroulée en l’absence de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) qui réclame des discussions supplémentaires.
Jeudi, après avoir approuvé cet accord qui avait été validé en mars par les autorités maliennes et des mouvements pro-gouvernementaux, les groupes rebelles à dominante touareg avaient prévenu qu’ils ne viendraient pas le signer.
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