Pourquoi chercher à détruire un homme dont la réputation est pourtant reconnue de tous ? Cela relève d’une malhonnêteté intellectuelle. C’est du moins ce qu’on peut dire des détracteurs du ministre Abdoulaye Idrissa Maïga. Leurs manigances, à travers une certaine presse sont désormais bien connues.
Abdoulaye Idrissa Maïga
Abdoulaye Idrissa Maiga, ministre de l’Administration territoriale
Pour qui connaît Abdoulaye Idrissa Maïga sait qu’il voudrait bien s’adresser à tous ceux qui portent comme lui l’amour des vertus de dignité et des libertés auréolées du respect et du sens républicain de l’Etat. Seule, la retenue pourrait l’en empêcher en se disant que la vérité finira par triompher. Il n’a nul besoin d’entretenir la polémique autour d’un système qui charrie l’ivraie.
Dans l’univers médiatique marqué par l’orchestration de manœuvres de bas étage, j’entends monsieur Maïga dire dans le silence de l’oubli, trois choses:
– ceux qui alimentent une certaine « presse » de fausses informations dans une campagne mensongère grossière, sont des hommes pressés obnubilés par le pouvoir et pourtant pas si sûrs d’eux-mêmes au point de paraître extravagants à l’image de leurs projets farfelus…
– ceux qui ont animé une campagne insidieuse à l’endroit de M. Maïga et contre sa personne, de juin 2014 à mai 2015, sont aussi des hommes pressés, en proie avec leurs propres turpitudes, leurs propres peurs, leurs propres craintes et je l’entends dire, que nous ne saurions gérer en lieu et place…
– ceux qui tentent de lui prêter un caractère bagarreur qui ne lui ressemble pas et qu’il ne saurait être, sont également des hommes pressés auxquels il a dû faire, à tord ou à raison, ombrage et pour lequel ces derniers lui vouent une haine viscérale et les égoïsmes des plus mortels. Et M. Maïga n’en a cure, car lui sait que l’homme pressé est dangereux pour lui-même, puis pour la société – source de la plus forte pollution du doute et d’une aigreur qui mine celui- là qui est toujours pressé… Cet homme-là porte la guigne toute sa vie et il profite de la cupidité de certaines et de l’avarice d’autres pour manipuler. Comme c’est le cas de tous ces torchons publiés par cette une certaine de la place.
À la place, de M. Abdoulaye Idrissa Maïga, nous mettrions en doute ceux qui se prêtent à ce jeu malsain et qui mettent à mal leur propre crédibilité d’abord, puis celle desdits journaux dont il soit permis de douter de leur ligne rédactionnelle et de leur sens de l’éthique et de la déontologie.
COULIBALY