Après l’affaire des culottes et bas des joueurs de l’Equipe nationale Juniors, place maintenant aux fonds offerts par le sponsor Orange-Mali aux Cadets et Juniors du Mali. En effet sur les 200 millions de francs CFA donnés seuls 500.000 FCFA et 250.000 FCFA ont été donnés aux cadets et aux Juniors.
Cette annonce a été faite par Abéta Ag Seydou, membre de du comité exécutif de la FEMAFOOT de surcroit président de la commission des Jeunes lors de l’assemblée générale de la ligue de Kidal qu’il préside. « J’ai beaucoup de gêne aujourd’hui vis-à-vis des jeunes et de leur famille.
Notre partenaire Orange-Mali a remis un chèque de 200 millions de francs CFA à la fédération qui était destiné aux deux sélections. Malheureusement on n’a donné que 500.000 FCFA et 250.000 FCFA aux deux sélections » déplore t-il. Voilà ce qui prouve une fois de plus que le président de la fédération malienne de football n’est pas venu pour le bonheur du football malien mais uniquement pour son propre bonheur ainsi que de son cercle restreint.
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Les Aiglons, 3e mondial à la Coupe du Monde 2015 : Fagnéry Diarra fait puer… tous ses détracteurs innés!
Comme Feu Mamadou Coulibaly et Cheick Salah Sacko lors de la Coupe du Monde 1999 au Nigéria, Fagnéry Diarra et Malick Fall ont décroché la médaille de bronze synonyme de 3e rang en Nouvelle Zélande.
Du coup Fagnéry Diarra fait taire définitivement tous ses détracteurs qui n’ont cessé de le déstabiliser depuis sa nomination comme entraineur des Juniors. Il ne fut un secret de polichinelle au sein du monde footballistique malien que la nomination de Fagnéry Diarra comme entraineur des Juniors n’a jamais été du goût de ces détracteurs innés retranchés au sein de la fédération malienne de football. Du coup tous les plans même sataniques ont été mis en œuvre pour faire échouer le coach Diarra. Et cela a commencé pendant les éliminatoires de la CAN lors du match retour à Bamako contre le Burkina Faso lorsque l’équipe du Mali a failli venir en retard au Stade faute de car.
Il a fallu les voitures personnelles du président de la commission des Jeunes de la FEMAFOOT, du 2e vice président de la FEMAFOOT respectivement Abéta Ag Seydou et Salaha Baby, des camions des Gendarmes chargés de la protection des joueurs, de la voiture du coach Diarra et les motos de certains joueurs pour que les joueurs soient à l’heure. Conséquence directe de cette mauvaise organisation logistique, les Aiglons ont été battus par 2 buts à 0, insuffisant pour éliminer les Aiglons pour la phase finale. Certainement content de cette défaite, le président de la fédération tente en catimini de remplacer Fagnéry Diarra auprès du ministre des Sports qui a tout simplement dit non.
Le comble dans cette affaire c’est qu’il a fallu la qualification des Aiglons à la phase finale pour voir la signature du contrat du béni Fagnéry. Les détracteurs du coach reviennent de nouveau à la charge après la 4e place obtenue à la CAN derrière le Nigéria (champion d’Afrique), le Sénégal et le Ghana. Du coup la déstabilisation reprend de plus belle pour demander son limogeage à défaut lui faire accompagner par leurs ‘’ propres’’ entraineurs. Pourtant il n’était un secret de polichinelle pour personne que l’équipe était amputée de ses meilleurs éléments à savoir l’excellent portier, Djigui Diarra, Adama Traoré, Youssouf Koné, Dieudonné Gbaklé sans oublier la méforme due à une blessure de Diadié Samassékou et de Souleymane Diarra.
La preuve c’est Adama Traoré qui a été le meilleur joueur du tournoi. Après plusieurs campagnes de dénigrements et de déstabilisation menées ici et là, le coach Diarra obtient la confiance du ministre des Sports et de tous les amoureux du ballon rond. Et aujourd’hui on peut dire que le ministre des sports et les fans du football malien ont eu raison car le Mali est revenu avec la médaille de bronze. Mais le comble c’est que les détracteurs innés du coach tapis au sein de la fédération malienne de football tentent de s’approprier de cette performance alors qu’ils devraient avoir le courage de demander pardon à Fagnéry Diarra pour les permettre de masquer leur honte et de soulager surtout leur conscience.