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Le frelatages de Tréta, irrite les béliers qui, exigent sa démission
Publié le mercredi 1 juillet 2015  |  La Nouvelle Patrie




Connu pour être strictement à cheval sur ses principes, surtout lorsqu’il ne souffle pas dans la même direction que le palais, le Parena, revient à la charge après les affaires se rapportant à l’aéronef et l’achat de matériels et d’équipement militaires. Pour l’honorable Tièbilé Dramé et ses camarades de l’Enclos, Bocar Tréta, à défaut de ne pas être démis par le président de la République, doitpartir de lui-même, en raison de la lourdeur des charges qui pèsent sur ses lourdes épaules.

Djiguiba Keita, dit PPR
Djiguiba Keita, dit PPR
Si les béliers ont, d’une manière ou une autre, obtenu les têtes des ministres Bouaré des Finances, Camara de l’Economie Numérique et de la Communication et Ben Barka des Investissements, il lui sera très difficile de jubiler d’une démission de Bocar Tréta. Resté longtemps en rade des affaires de la République avant que le Président ATT, ne lui tende une perche amie à travers l’Elevage et la pêche, le chef présumé des tisserands, confiant en son destin politique, fera tout et absolument tout pour ne pas quitter l’attelage Modibo Keita. Car c’est de cette fonction ministérielle, qu’il tient une certaine troupe pour se maintenir à son poste de Secrétaire général à défaut de devenir président. La rivalité entre lui et le ministre de l’Administration territoriale, selon des sources proches de l’Hippodrome, serait terrifiante. Pour les béliers, son maintien est un scandale et n’arrange en rien dans l’image et de la République et du président de la République. Tièbilé Dramé et le comité qu’il dirige, démontrent le bien fondé de leur argumentaire dans un grand document, dont cet extrait « L’interpellation du ministre en charge de l’agriculture n’a pas permis d’éclairer l’opinion sur les enjeux et les dessous de la guerre que se livrent des opérateurs économiques du secteur sur fond d’utilisation opaque de dizaines de milliards de francs CFA au vu et au su des pouvoirs publics. Au contraire, le ministre a entouré d’un épais brouillard le sujet. Au lieu de respecter le droit légitime à l’information des élus du peuple, il s’est débiné en passionnant le débat et a demandé, pour enterrer la question, la création d’une commission d’enquête parlementaire ! » Alors que va t –il faire, puisque, demain jeudi, il devrait encore revenir devant les élus de la nation, toujours pour la même affaire ?

A suivre

Sory de Motti
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