François RIHOUAY.
Le bastion des rébellions touarègues est un guêpier pour les soldats de la paix. La mission de l’Onu au Mali vit ici sous haute sécurité.
Une fois passées les hautes portes de l’enceinte flanquée de miradors, le chef de la sécurité de la Minusma (mission de l’Onu au Mali déployée depuis l’été 2013), Vincent Malle, donne le ton. « Le camp est sous menace permanente. Notre principal souci, ce sont les tirs indirects. Douze obus de 120 mm sont tombés à 300 m d’ici, il y a quelques semaines », détaille l’ancien parachutiste français.
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